N comme Nudité
Datte: 03/10/2018,
Catégories:
Hardcore,
Inceste / Tabou
Mature,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... minutes plus tard, je l’ai vu revenir et il s’est arrêté à ma hauteur. Il m’a regardé pendant quelques instants, de la tête aux pieds, puis il m’a dit :
« C’est une bien charmante robe que vous portez, mademoiselle. Mais elle n’est pas un peu légère à ce moment de l’année ? »
C’était une robe blanche, courte à toutes petites bretelles. Et là encore, on voyait que je n’avais pas de soutien-gorge. C’était à la mi-septembre, et en effet il commençait à faire un peu frais. Mais je m’en fichais. Je n’avais pas encore attrapé de proie ce jour-là. J’ai donné soixante-dix ans à cet homme et je me suis mise à bavarder avec lui. Mais lui ne s’est pas assis à côté de moi. Il est resté debout, à me parler, à me poser des questions et à me regarder, tandis que les promeneurs se raréfiaient sur les bords de la Loire. J’ai oublié son prénom, mais je me souviens très bien qu’après une heure passée à discuter tous les deux, il m’a suggéré de venir boire quelque-chose de chaud chez lui. Il vivait tout près. Je l’ai suivi, mais à distance, car il n’avait pas envie qu’on le voie en compagnie d’une adolescente. Quelques minutes plus tard, je l’ai vu entrer dans sa maison et j’ai sonné à la porte. Il m’a ouvert, m’a invitée à entrer dans son salon et m’a demandé s’il m’arrivait souvent d’accepter de suivre des inconnus de cette façon. Je lui ai répondu que ça m’arrivait parfois et il m’a caressé la joue. Je l’ai laissé faire. Il faisait assez bon chez lui. Je me souviens que le salon était ...
... rempli de bouquins et de vieux disques vinyles. Il y avait aussi un piano droit et des quantités de photos noir et blanc de musiciens accrochés aux murs. Ensuite, il m’a caressé les cheveux, puis la nuque, en me disant :
« Tu es troublante, petite demoiselle. »
Ce fut mon record de différence d’âge : soixante-deux ans.
Il était quatre fois grand-père, mais ses enfants ne lui rendaient plus visite depuis des années. J’avais l’âge d’une de ses petites-filles, et je n’ai pas oublié son prénom : Amélie. Je m’en souviens, car ce monsieur a souhaité m’appeler par ce prénom durant toute l’heure qui a suivi.
« Ma petite Amélie. »
« Ma petite chérie câline. »
« Ma mignonne, tu as de jolies formes à présent. »
Etc.
C’était son trip. Je l’ai laissé faire. Ce qui m’importait, c’était d’être toute nue devant ce vieux monsieur. Seulement ça. C’était une transgression et ça me plaisait terriblement. Il n’avait pas le droit de voir une fille de mon âge toute nue, ni de la toucher. Il n’avait pas le droit de plonger son visage entre ses cuisses, pour la lécher longuement, ni celui d’enfoncer sa queue dans sa petite moule, sans se protéger. Il n’avait pas non plus le droit de la sodomiser, ni d’éjaculer sur le bord de sa langue en lui disant des gros mots. Mais ça me convenait. Chacun son trip. Chacun ses façons de jouir.
La semaine dernière, je me suis mise toute nue devant le nouveau mec de ma mère. Il s’appelle Philippe. Cela fait quelques semaines qu’il vit chez ...