1. N comme Nudité


    Datte: 03/10/2018, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... été déçu par un piège que j’avais tendu. J’ai beau chercher, je n’en trouve pas. En revanche, j’ai choqué quelques hommes. La plupart s’en sont remis assez vite, mais il est vrai que j’ai souvent tendance à me mettre toute nue sans que l’autre s’y attende. Et rares sont les hommes (ou les garçons) qui ont reculé. Très peu ont pris la fuite. Beaucoup auraient pourtant pu le faire, notamment au cours de mon adolescence.
    
    Je me souviens du mercredi après-midi où je me suis rendue chez ma copine Léa. Je savais qu’elle avait un cours de danse et que c’était la semaine où elle était chez son père. Il travaillait de nuit et je savais qu’il se levait vers 14h. J’ai sonné à sa porte vers 15h. J’ai fait semblant d’être déçue que Léa ne soit pas là. Je devais lui rendre des DVD et son père m’a proposé d’entrer dans la maison. J’avais quatorze ans. Je portais une robe orange, assez courte, moulante en haut, flottante en bas. Dessous, je n’avais pas de soutien-gorge, et je savais que ça sautait aux yeux. J’avais tout calculé.
    
    Le père m’a offert un Panaché et on s’est assis dans le salon, moi dans le canapé et lui dans un fauteuil situé en face. Je l’avais déjà croisé quatre ou cinq fois, en venant chez lui avec Léa, et j’avais surpris à plusieurs reprises ses regards sur moi. C’était un homme au physique ordinaire, assez grand et mince avec des lunettes. La quarantaine. Et nous avons assez longuement parlé ce jour-là, lui et moi. De ma vie, principalement. De ma scolarité, de ce ...
    ... que je voulais faire plus tard, de mes loisirs, de mes goûts, puis des garçons. Il regardait souvent mes genoux, je me souviens. Mes genoux et mes cuisses, puis ma poitrine de temps en temps. Il s’appelait Michel et buvait de la bière.
    
    Après mon deuxième Panaché, je suis allée aux toilettes. J’y suis revenue après le troisième et, à mon retour dans le salon, j’étais à poil. Je me suis plantée dans l’encadrement de la porte et j’ai attendu que le père de ma copine se tourne vers moi. Il a alors ouvert grand les yeux et lâché :
    
    « Oh putain, non… »
    
    Quelques minutes plus tard, il me prenait en levrette sur le canapé, sans préservatif. Ensuite, on est allé dans sa chambre et il ma sautée sous les draps en m’embrassant sur la bouche. Je l’avais sucé entre temps, tandis qu’il me tripotait les seins en me faisant des bisous dans les cheveux. A l’époque, je m’épilais seulement au maillot et je coupais mes poils très courts. Je me souviens parfaitement du moment où du sperme a giclé de la fente du gland du père de ma copine, pour se répandre dans mes poils.
    
    Mais des hommes bien plus âgés n’hésitent parfois pas à aborder des filles seules, y compris lorsqu’il est évident qu’elles sont encore loin d’être majeures. Ce fut le cas un dimanche après-midi, à la fin de l’été, sur les bords de la Loire. J’allais avoir quinze ans Un vieux bonhomme qui est passé une première fois sur le banc où j’étais assise, en train de bouquiner. J’ai relevé son regard, puis il s’est éloigné. Deux ...
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