Roman... évidemment
Datte: 03/10/2018,
Catégories:
fh,
h+medical,
Auteur: Hunky Dory, Source: Revebebe
... avait manifesté un intérêt humide évident, croissant avec les épisodes.
Mais il n’était pas pour elle et elle n’était pas libre.
Au petit matin, il se réveilla, un besoin naturel à satisfaire, il s’amusa en ôtant le drap d’être en l’état des hommes le matin et se rendit, nu, aux commodités.
Il ne vit d’abord qu’une partie du déshabillé de soie qui dépassait de la porte entrouverte de la chambre que les premières lueurs de l’aube semblaient éclairer. Laissant sa curiosité parler, il avança sa tête dans l’embrasure de la porte et les vit.
Il vit ces fesses noires et musclées qui se contractaient compulsivement comme dans un va-et-vient infernal. Mal à l’aise, il n’en chercha pas moins à habituer sa vision à l’obscurité lorsqu’il la découvrit, objet de ces assauts.
Nue, allongée sur le dos, elle accompagnait de son bassin et de ses gémissements le pilonnage en règle dont elle était l’objet, les fesses puissantes propulsant un long membre épais au creux d’elle.
Fasciné par leur animalité, il restait figé et voyeur, contrôlant mal une érection croissante qui le surprenait.
Leur complicité était trop forte et il était trop convalescent pour la désirer mais leur mélange sous ses yeux l’attirait fortement.
C’est alors qu’elle le vit. Elle lui sourit et lui fit un petit signe, avant de fermer ses yeux sous l’effet du plaisir, puis d’inviter son partenaire à se retourner, ce qu’il fit découvrant un énorme membre sur lequel elle s’empala de suite, coulissant ...
... frénétiquement jusqu’à une jouissance bruyante qu’elle accueillit le regard tourné vers lui.
Il choisit de s’éclipser à ce moment-là. Il ne s’endormit pas de nouveau, mais n’eut pas envie de se satisfaire. Le spectacle de la jouissance dans les bras d’autrui ne l’excitait plus, il avait donné.
Il resta allongé. Tard dans la matinée il entendit le bruit de la porte d’entrée qui s’ouvrait puis se refermait. Quelques instants plus tard, à nouveau vêtue de son déshabillé, elle revint s’asseoir près de lui en lui souriant. Ils se turent pendant un long moment, complices dans l’immobilité.
Puis elle se leva, ôta le drap qui le couvrait, l’offrant nu à son regard. Tranquillement, elle ôta son déshabillé, se montrant intégralement nue devant lui pour la première fois. Il fut sensible à sa cambrure toute antillaise et à la finesse de sa taille. Elle s’assit tout près de lui, de côté sur le bord du lit et lui dit d’une voix suave :
— Raconte-moi les bords de Marne, encore, s’il te plait.
Presque mécaniquement, il recommença son récit.
Après quelques instants d’écoute silencieuse, elle prit simultanément la main qu’elle dirigea vers sa chatte et la queue qui s’était déjà raidie à la vue de son corps. Elle commença à coulisser délicatement, mais c’est surtout lorsqu’elle pressa sa main à lui sur sa chatte qui ruisselait qu’il durcit vraiment. Elle écarta ses cuisses et lorsqu’il introduisit ses doigts, sa pression sur son gland s’intensifia.
Elle ne fit rien pour le ...