La bohême
Datte: 30/09/2018,
Catégories:
fh,
prost,
caférestau,
voiture,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
jeu,
nostalgie,
jeux,
Auteur: Sire Fox, Source: Revebebe
... falloir me le donner.
Bérengère regarde à droite et à gauche, surveille le serveur ; avec une agilité que je n’avais pas soupçonnée, elle dégrafe délicatement son soutien-gorge. Notre serveur arrivant avec les plats, elle attend tranquillement puis, à peine le serveur parti, elle passe sa main sous la manche de son chemisier pour faire descendre la première bretelle du soutien-gorge, puis elle fait de même de l’autre côté. Enfin, en déboutonnant un bouton de son chemisier, elle me donne un soutien-gorge de dentelle blanche finement ouvragé. La dentelle est douce sous mes doigts ; je caresse cette fine lingerie avant de la ranger dans la poche de ma veste.
Les tétons de Bérengère pointent à travers le chemisier ; je lui demande de détacher un autre bouton, ce qu’elle fait à ma grande surprise. Personne dans la salle ne s’est rendu compte de quoi que ce soit. Il faut dire que la salle est plutôt clairsemée ; peu de clients en ce jeudi soir. Ma vision de cette poitrine libre maintenant devant moi me ravit ; le tissu du chemisier, s’il ne me permet pas de voir ses seins libres, me laisse deviner des formes ravissantes où j’ai envie de passer mes mains. L’ouverture de ce chemisier me permet de deviner la naissance de ses seins ; une courbe fine se laisse deviner et me tente bigrement. Bérengère en joue ; elle joue avec le col de son chemisier pour l’ouvrir davantage. Nous sommes tous les deux prisonniers de ce jeu et mangeons difficilement notre plat.
Le serveur ...
... débarrasse nos plats et nous propose un dessert. C’est à cet instant-là que je présente à Bérengère un billet de 200 francs ; elle sourit.
— Veux-tu mon string ?
— Avec plaisir. Il est assorti à ton soutien-gorge ?
— Oui, et il commence à être humide, vu ce que nous faisons… Tu le veux quand même ?
— Bien sûr, et encore plus s’il est parfumé.
Bérengère commence à se dandiner sur sa chaise, puis se met à sourire.
— J’adore cette jupe, mais je n’avais pas pensé à ce que je devrais faire en la mettant ; c’est assez difficile d’avoir accès à sa culotte avec une jupe pareille, surtout assise sur une chaise.
La situation m’amuse, mais je suis beau joueur :
— Si tu veux, tu peux aller aux toilettes pour le retirer.
— J’y ai pensé, mais ce n’est pas ce que nous avions convenu. Je vais y arriver ; il faut juste que je trouve la bonne méthode.
— À ta guise.
Le garçon nous apporte les desserts ; à peine reparti, je vois Bérengère relever sa jupe à la limite de ses bas, attraper son string et le faire apparaître sur ses cuisses, puis elle baisse en même temps la jupe et la dentelle. Elle finit de la faire glisser alors à ses pieds ; elle peut la prendre et me la donner sans trop de contorsions. Je la prends, la pose sur la table, puis je la porte discrètement à mon nez pour sentir le doux parfum de cette lingerie dont l’entrejambe est bien humide : elle ne m’a pas menti.
— C’est la première fois que je fais cela ; c’est très excitant… Je me suis déjà promenée sans ...