1. La bohême


    Datte: 30/09/2018, Catégories: fh, prost, caférestau, voiture, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral jeu, nostalgie, jeux, Auteur: Sire Fox, Source: Revebebe

    Moi qui suis un cinquantenaire dans la force de l’âge, j’aimerais vous raconter quelques-unes de mes aventures de la grande époque du minitel et de son fameux 3615.
    
    J’ai eu vingt ans au début des années 80 et je passais énormément de temps sur le fameux 3615 Reso et, heureusement pour mon banquier, sur son accès gratuit en 3614 – Reso1 pour les connaisseurs.
    
    Ayant la chance à cette époque bénie, de gagner un salaire fort confortable et étant célibataire, je draguais consciencieusement et étais ouvert aux propositions tarifées de certaines dames de ce site, mais j’ai toujours aimé jouer et réaliser des fantasmes plutôt que de chercher à conclure de façon banale. Tout cela pour dire que j’aimais les propositions hors du commun.
    
    C’est ainsi qu’un soir de juin, j’ai discuté avec une femme qui était connectée sous le pseudo « Bérengère ». La discussion a commencé de façon charmante sur nos goûts respectifs, et nous disions gentiment du mal des autres connectés en bonnes langues de vipères, un petit délire du soir… Puis nous en sommes venus à nos envies respectives ; elle était comme moi intéressée par les jeux d’exhibition, et j’avais envie de réaliser celui de dîner au restaurant avec une femme et qu’elle me donne ses dessous (culotte et soutien-gorge), de la façon la plus discrète possible, au cours du repas. J’ai ainsi aiguisé sa curiosité.
    
    Elle se disait prête à satisfaire mes désirs, mais m’a demandé une compensation financière que je devais définir. La balle ...
    ... étant dans mon camp, un chiffre me vint en tête et je lui proposai cette somme ; refus instantané : pas un simple échange, mais quelque chose qui devait la motiver et me permettre de satisfaire mon désir sans avoir l’air de payer pour un simple acte. La nuit portant conseil, nous avons décidé d’en reparler le lendemain ; aucune urgence pour réaliser cela, il fallait trouver le bon compromis.
    
    Après une journée de réflexion, j’attendais de pouvoir de nouveau discuter avec Bérengère. Lorsqu’enfin elle apparut, nous avons pu continuer à discuter.
    
    — Alors, que me proposes-tu ? demanda-t-elle.
    — J’ai eu cette idée : je te propose de t’acheter les vêtements que tu enlèves. 100 francs pour le premier, 200 pour le deuxième, 300 pour le troisième.
    — …
    — Qu’en penses-tu ?
    
    Après un long moment, j’ai eu sa réponse :
    
    — Pourquoi pas ? Il nous faut organiser cela, voir selon nos disponibilités et trouver un endroit…
    — Oui. Mais si tu es d’accord sur le principe, c’est le principal.
    — Oui, je suis tentée…
    
    La discussion se poursuivit sur nos restaurants habituels et ceux qui nous semblaient permettre cela en toute discrétion ; je suis égoïste dans mes jeux et je ne voulais pas créer une émeute à cette occasion. Maintenant, si l’un des convives attablés au restaurant s’apercevait de quelque chose, grand bien lui fasse ; mais je voulais que cela reste notre envie, notre délire.
    
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    Une semaine plus tard nous avions décidé d’un restaurant indien près de la ...
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