1. Surprise !


    Datte: 29/09/2018, Catégories: hbi, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels init, Auteur: Armel, Source: Revebebe

    ... pense pas toujours trouver comme ornement d’un tel corps. Je ne suis aucunement déstabilisé par cette découverte. Son œil inquiet et interrogateur me scrute un instant, attendant ma réaction. Ravi au fond de moi, je soulève délicatement la robe par le bas pour mettre à jour une jolie verge, de taille, ma foi, plus que raisonnable. Je crois qu’elle est l’être rêvé pour ma libido. C’est elle que je cherchais depuis toujours, l’hermaphrodite complémentaire !
    
    Quand je m’empare du membre qui m’est ainsi offert, son gonflement subit ainsi que le sourire de béatitude de sa (ou son ?) propriétaire trahissent le soulagement. L’anxiété fait place alors à la libération des sens. Je flatte amplement la hampe, à pleine main, titille les bourses, un peu gauchement de prime abord. Elle ne tarde pas à partir à la découverte de mes propres attributs. Accroupie, elle entame un affolant ballet buccal sur leur chair délicate et presque à vif. Je dois réfréner son appétit pour ne pas me répandre trop vite sur ses papilles. Se retournant brusquement, elle s’appuie sur une des machines après s’être troussée jusqu’aux reins. La déflagration qu’inflige cette posture magnifique et obscène à mon organisme est indescriptible. Je presse la racine de mon vit afin d’en retarder les effets dévastateurs. C’est une invite sans précédent, pour moi. Je dois m’habituer, pendant quelques secondes !
    
    — Viens ! Viens vite ! C’est mon sexe à moi ! Tu peux le prendre, il est pour toi…
    
    L’offensive est vite ...
    ... décidée. Et c’est dans le corridor menant au monde des rêves que je coulisse avec délectation, arrachant à ma partenaire idéale le premier cri de ravissement. Une découverte mutuelle. Je suis aux tréfonds de son ventre et je sens que je ne pourrai plus le quitter. Sans fin, j’en écarterai les muqueuses sensibles, comme à cet instant, lorsque mon bassin vient à la rencontre de son fessier détendu. L’issue est proche. Se redressant, elle me donne à entrevoir son appendice, semblable au mien, qui bat l’air sous mes assauts de plus en plus convulsifs. Elle le saisit pour bestialement en faire sortir la pression. Planté comme jamais dans son fondement obscur, la décharge se fait liquide et ardente comme un tison. Nous braillons à l’unisson dans une jouissance simultanée, si j’en crois le déferlement de substance blanchâtre hors de son sexe. Il nous faut un certain temps pour récupérer, et pour moi, sortir d’elle. Il y a eu peu de mots, mais tout a été dit, et tout sera encore à redire. Elle m’a laissé là, pantelant presque, pour s’enfuir. C’était trop fort, trop plein et intense. La vie est à nous. Pourtant, je me sens terriblement seul, tout à coup.
    
    Soudain, un bruit, sourd au début, puis de plus en plus assourdissant, emplit tout l’atelier. Me rajustant tant bien que mal, j’en cherche l’origine pour m’apercevoir rapidement que les rotatives se sont remises en marche ! Je me penche au-dessus de l’une d’elle et contemple avec effroi ce qui semble s’imprimer à grande vitesse sur ...