1. Baptême du feu


    Datte: 06/02/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Jademik, Source: Hds

    ... avant de dormir, Didier est venu à côté de mon lit où j’étais en train de lire une BD (Tintin ou Astérix), couché sur le ventre en dehors des couvertures. Il était comme moi en pantalon de pyjama et en maillot de corps (c’était l’été, il faisait chaud). Il se planta devant mon nez en me demandant si je ne remarquais pas quelque chose de bizarre sur lui. Je jetais un œil rapide et lui répondis « non ». « Mais si, regarde bien mon pyjama », insista-t-il. Il y avait une bosse inhabituelle en bas et il m’invita à baisser son pantalon pour comprendre pourquoi.
    
    - Alors ? Alors ?
    
    - J’ai baissé son pantalon et là, surprise… sa queue a jailli à l’horizontale. Il m’a demandé de la toucher, de la prendre en main.
    
    - Évidemment, tu penses !
    
    - Je n’en avais jamais vue comme ça, aussi grosse et aussi dure. Je n’osai pas. Il me disait de faire comme lui, de jouer avec en l’agitant dans tous les sens, ce que je fis, en ayant bien conscience de faire quelque chose d’inavouable. Puis il me demanda si je ne voulais pas passer les vitesses avec, en me montrant d’abord : point mort, première, seconde etc…
    
    - Le cochon ! Bon finis l’histoire, Thierry !
    
    - Ben on a dû faire ça à trois ou quatre reprises en cachette ! Voilà.
    
    - Eh bé ! Si on se doutait ! Mais dis donc, ça c’est une version, mais nous… on aimerait bien vérifier pour voir comment vous vous y preniez, tous les deux, hein les mecs ?
    
    - (acquiescement des deux autres) Oh oui, oh oui, allez, ce serait rigolo ...
    ... maintenant !
    
    - Bah tiens, vous délirez, répond Didier, interloqué !
    
    - Allez ! Allez ! (à l’encan) Vas-y Thierry ! Vas-y Thierry ! Vas-y Thierry !
    
    Un peu dépassés par les évènements et l’ambiance alcoolisée, nous nous somme regardés Didier et moi. J’ai vu à son regard qu’il était résigné à le faire, probablement émoustillé par l’inattendu de la situation. Moi aussi, je dois dire…
    
    - Bon, OK, a lâché Didier. J’ai votre parole que ça ne sortira jamais d’ici ?
    
    - Tu as notre parole, hein les gars ?
    
    - Ouais, on te le jure, répondent en chœur Yann et Jean-David.
    
    - Thierry, tu es d’accord ?
    
    - Oui, si c’est bon pour toi…
    
    Pour la reconstitution, on a décidé de rester sur la terrasse, au soleil déclinant, presque couchant. Il devait être aux alentours de 21 heures. Cela rappellerait le faible éclairage de la chambre de Didier. En remplacement des pyjamas, on s’est juste mis, lui et moi, en slip après avoir retiré notre short. Un demi-cercle s’est ensuite formé devant lui avec moi au centre.
    
    Je me suis approché de Didier et me suis agenouillé face à lui, la tête à peu près à hauteur de son slip. Dès que j’ai approché ma main, j’ai vu sa bosse grandir jusqu’à décoller la fine étoffe de son pubis. Il était très excité, comme moi d’ailleurs. Je n’ai eu qu’à écarter légèrement le haut pour que sa queue bandée jaillisse devant mes yeux. J’ai immédiatement reconnu son organe circoncis (comme le mien), bien que me paraissant plus long, plus massif, plus musculeux et veineux ...