La Révélation de Sophie (8)
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... Sophie par la taille et l’invita à la cavalcade. Elle ne se fit pas prier et profita de l’impulsion. N’avait-elle pas conscience de l’effarante métamorphose du mâle ? Elle ne s’en étonnait pas !
Toute en souplesse et en génuflexion, elle chevaucha la pine et la fit coulisser dans son con, le son liquoreux était particulièrement explicite du massage incessant du fourreau ; la mouille s’émulsionnait en une crème liquide qui nappait copieusement l’engin ; le surplus de lubrifiant coulait sur les testicules et se répandait sur les draps. Cette glissade vers la jouissance était aussi truffée de chocs, quand, comme pour prendre mieux son élan, Sophie, dans un cri acéré, remplie jusqu’à la garde, écrasait pesamment son cul sur les couilles hypertrophiées. Les gueulements redoublèrent. La chevauchée devint sauvage. La magnifique pouliche s’emballa… et… au moment fatidique, en la clouant sévèrement sur sa pine, il la priva d’orgasme.
Il l’immobilisa ainsi contre son gré. L’indomptable empalée se débattit, refusant l’intolérable frustration. En renâclant bruyamment, elle ballotait sa tête dans tous les sens, à cause de l’outrance de la surexcitation, la longue crinière noire giflait l’air violement. Mais elle eut beau supplier, " ALLLEZZZ-YYYY METTEZ LA MOIIII ...
... ENCORE ÔÔÔHHHHH PITIÉ ENCOREEE ", fulminer, rager, " PTIÉÉÉ ENCORE MAIS ENCOREEEEE ALLEZ-YYY ", l’ange-bête tint bon, ne lui lâcha pas la bride, ne l’autorisa pas à se désarrimer ne fusse que d’un millimètre pour partir au triple galop vers le nirvana. Tel un cheval que l’on ramène au pas, elle finit par se calmer et il put lui annoncer que le dernier acte de la défloration était venu.
" Vous le voulez Sophie ? Etre totalement accomplie ? "
Elle aurait pu se passer de mots. Les yeux enfiévrés par l’intempérance avaient amplement valeurs de réponse mais, dans l’escalade impudique, la bouche aux pétales rouges, autrefois réservées et maintenant si gloutonnes, renchérirent :
— ÔÔôoHHHHhh Oui Ange ! OUI OUI OUI !!! Mille fois OUI ! Je ne veux que ça. Dites-moi vite comment je dois me mettre !!!
— Quelle position adoptez-vous quand vous cherchez à communier avec votre Dieu ?
— Je me prosterne ? "
Sophie avait tout compris. Dans un long soupir d’aise, elle se désemmancha de l’astronomique pine et, quintessence de grâce et de féminité, s’étendit sur la couche, puis, sans se faire aucunement prier, elle inclina humblement son buste, posa son féérique visage sur le drap et, à seul fin de recevoir l’enculage, tendit à la bête sa somptueuse croupe.