La Révélation de Sophie (8)
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... la félicité, elle se blottit encore plus intimement contre l’ange protecteur. Sa joue si lisse reposait sur la forêt de poils, la bouche exactement à la hauteur du léger creux au bas du sternum, alors, comme mue par un instinct animal, pour s’imbiber encore plus intimement de l’odeur et du goût de son mentor, telle une délicate bichette qui s’abreuve à la source rare d’une clairière, elle entreprit de laper du bout de la langue le suc testostéroné. La minaudeuse leva ensuite l’ambre éclatant de ses yeux ; l’enivrement sexuel accentuait l’éclat de ses pupilles et aiguisait sa voix :
" Je veux de toute mon âme entièrement vous appartenir. Je ne désire que ça.
— Alors, je m’emploierai à combler ce désir. "
Elle désigne les hommes en fauteuil roulant.
" Il seront nos témoins ?
— Oui. Ils ont foi en vous.
— Alors je ne les décevrai pas. "
Et pour preuve de cette volonté, doucement, les mains en appui sur les épaules noueuses de l’ange, elle redressa son buste, ses seins, deux soleils éblouissants de rondeur et de plénitude, se levèrent, mamelons dressés vers les cieux, et, sa tête fièrement tournée vers le midi, son bassin ancré au mat de chair, avec, en guise de trône pour son cul de reine, le confortable coussin des lourdes couilles, elle s’empala sur la pine. L’ingénue ne simulait pas la pâmoison ; elle mordillait ses lèvres en une chaste grimace de grandiose salope.
Les longs doigts simiesques d’un ange par le coït à nouveau fait bête, prirent le ...
... contrôle des tétons. Entre le pouce et l’index, il triturait les délicats boutons roses. Comme un instrumentiste génial, il tirait de ces touches éminemment érogènes les sensations maximales. Sophie prise par l’intensité des vibrations, entama une danse du bassin. Elle ondula lascivement des hanches et charma l’immense serpent de chair emprisonné tout entier dans son panier vaginal. Ses gémissements de femelle tournèrent vite au concert animal. Sur les couilles du taureau et dans l’axe de la queue, la rotation de ce cul de déesse entraînait les rouages d’un manège obscène et hypnotique. Elle rejeta un peu plus la tête en arrière, sa crinière noire dégoulina vers ses reins, au sommet des collines orgueilleuses, les tétons durs et impétueux, plus roses que l’aube, éperonnaient le ciel. Elle se cambra encore. Yeux clos, bouche entrouvertes, lèvres aussi rouges que la chaleur qui embrasait ses entrailles, elle exhalait la passion.
Incroyable ! Le mâle se métamorphosait à nouveau, redevenait bête ! L’ardeur fantastique de Sophie ensauvageait-elle l’enveloppe corporelle de cet être surnaturel ? Etait-il possible qu’il soit vraiment un ange doté du don de la transfiguration ?
Le visage d’une beauté surhumaine restait impavide mais, indéniablement, toutes les autres chairs, carne virant au noir et se recouvrant de fourrure, prenaient les atours d’une bestialité bovine. Il n’avait plus des bras mais bien des pattes, pas des mains mais des pognes simiesques avec lesquels il saisit ...