1. La patrouille se forme.


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fhh, cadeau, cocus, vacances, fsoumise, Oral Partouze / Groupe fdanus, jouet, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... qui prolonge sa raie sur la table. L’œuf vibrant, lui aussi bien salivé, glisse sans difficulté dans son vagin. Une fine ficelle terminée par un anneau reste hors de la chatte. Une pression sur la télécommande vérifie qu’il fonctionne.
    
    Voilà ! Parfait ! Rien ne cloche. Le temps de prendre ma tablette pour faire des photos. Depuis quelque temps, j’ai pris l’habitude de filmer nos ébats. Martine peut ainsi revivre ces parties et s’admirer en pleine action.
    
    Je regarde l’heure et je déclare :
    
    — Il ne va pas tarder. J’ai demandé de bien être à l’heure. Il va avoir une sacrée surprise de te voir ainsi, lui qui pense ne venir que pour l’apéritif !
    
    Martine ne réagit pas. Elle est déjà dans son personnage. La femme soumise qu’un mari punit de ses infidélités.
    
    — Ah, on a sonné. Tu as entendu ? Il est à la porte.
    
    Je crie assez fort.
    
    — J’arrive.
    
    Puis, me tournant vers ma femme, un baiser sur son front pendant que je fixe l’indispensable bandeau.
    
    — Ah, j’allais oublier…
    
    Je recouvre totalement Martine avec une nappe à fleurs et je vais ouvrir. Mon invité entre. Alors que je le précède dans la pièce, je dis :
    
    — Bonsoir, merci d’être à l’heure. Nous t’avons préparé une surprise qui ne peut pas trop attendre.
    — …
    — Mais nous avons tout de même le temps de prendre une coupe.
    
    Le champagne coule dans les verres. Les coupes se choquent.
    
    — Tu te demandes peut-être ou est Martine ? Elle ne va pas tarder. Tiens, je vais mettre un peu de musique. Une ...
    ... nouvelle coupe ?
    — …
    
    Nouveau bruit de bulles.
    
    — Tu veux bien enlever la nappe maintenant ? La surprise est dessous.
    
    Martine, qui n’a rien perdu de cet étrange monologue, sent le tissu glisser doucement de son corps et aller chuter à terre. Elle admire le sens de la mise en scène de son mari, ce mari que chaque jour elle aime encore un peu plus. Elle bénit les jours pluvieux de mai et le scout qui vit encore dans le cœur de Jean pour avoir enclenché ce renouveau. Rétrospectivement, elle a honte d’avoir pris Gérard comme amant ; mais d’une certaine façon, c’est grâce à lui qu’elle a pu supporter cette longue période où son mari était soit perdu dans ses pensées, soit désagréable au point d’enclencher dispute sur dispute. Même sans le sexe, les échanges de mails avec son amant lui remontaient le moral. Mais maintenant c’est fini, elle est redevenue une femme fidèle. Fidèle, perverse, cochonne, un peu salope, mais uniquement avec son mari.
    
    La pièce est étrangement silencieuse malgré la musique.
    
    — Alors, c’est une belle surprise, hein ? Tu en reste sans voix… Pourtant ce n’est pas la première fois que tu vois ta maîtresse aussi nue, et j’imagine dans des positions audacieuses. Tu peux toucher, bien sûr, je ne suis pas jaloux. Je l’ai été, mais c’est fini : au contraire, je veux te voir avec elle.
    
    Des mains courent sur le corps de la prisonnière. Dans un premier temps, elles semblent juste effleurer, mais peu à peu elles deviennent plus audacieuses, n’hésitant pas à ...
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