1. L'île aux cochons (3)


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... embrassais les deux matelots sur les joues. Ils me caressèrent les seins et les fesses, je pris leur queue dure dans mes mains et les branlais doucement.
    
    Je ne demandais pas où était Rodrigo.
    
    Ils m’offrirent un beau morceau de viande grillée que je mangeais avec appétit en songeant à la suite. Contrairement à ce que j’avais raconté à mon naïf mari, il m’était impossible de m’offrir à l’un sans m’offrir à l’autre. Cela occasionnerait des conflits inutiles, et puis, pourquoi le cacher, j’y avais pris goût.
    
    Rassasiée, je m’allongeais sur le dos, cuisses ouvertes, laissant les deux hommes décider lequel me baiserait en premier.
    
    Honesto se coucha sur mon ventre et me pénétra sans manière.
    
    C’était excitant de me faire baiser en plein jour sous les yeux brillants de Masaru, assis à côté de moi. Je regardais sa belle queue dressée vers le ciel. Je savais que bientôt, elle défoncerait ma petite chatte que Honesto préparait de si bon cœur.
    
    J’allongeais la main et caressais les douces et lourdes bourses du sumo jusqu’à ce que Honesto m’inonde le ventre de son sperme.
    
    Masaru profita de la place toute chaude. Prenant garde de ne pas m’écraser sous son poids, il s’enfonça bien profond dans mon vagin juteux et me baisa avec une surprenante énergie. Après le deuxième orgasme, j’entrais en transe.
    
    — Baise-moi plus fort ! Défonce-moi la chatte avec ta belle queue ! Je criais.
    
    Je restais pantelante, cuisses ouvertes, comme le Mongol m’avait laissée. Mon vagin ...
    ... palpitant formait un gros trou parfaitement rond d’où s’écoulait un flot de grumeaux blanchâtres.
    
    Honesto s’allongea sur moi et me baisa une seconde fois. Je l’accueillis avec enthousiasme.
    
    Masaru ne voulut pas être en reste. Cette fois, je perdis conscience tellement c’était fort !
    
    Je rentrais les jambes écartées avec l’impression d’avoir encore une bite dans la chatte.
    
    Je retrouvais Edouard et Fang à côté du feu et leur donnais la viande que j’avais gagné si plaisamment. Mon mari ne me posa aucune question. J’appréciais sa discrétion et son intelligence. Notre survie dépendait de nos facultés d’adaptation.
    
    Je pris quelques coquillages ouverts sur la braise et me régalais.
    
    Nous sommes allés tous les trois sur la plage admirer le soleil couchant.
    
    — Demain, nous pourrions aller faire un tour de l’autre côté de l’île voir si on ne trouve pas quelque chose d’intéressant ? Je leur proposais.
    
    — C’est une bonne idée, répondit Fang, dévoilant un instant sa nature aventureuse.
    
    — Allez-y tous les deux. Je dois reprendre plus de force avant de tenter l’escalade. Je vous envie, darling, vous êtes radieuse.
    
    Je baissais les yeux en rougissant. L’épanouissement physique et moral que je ressentais se voyait tant que cela !
    
    Fang ouvrait le chemin. Plus nous montions sur le volcan, plus les cocotiers se faisaient rares. Moins de deux heures après notre départ, nous sommes arrivés sur une sorte de plateau recouvert d’une plante courte et drue.
    
    Toute l’île s’étendait ...
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