1. L'île aux cochons (3)


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... autant que vous, lorsque vous avez découvert mon secret. Rassurez-vous, je ne vais pas jouer au mari outragé. J’ai trop faim ! Ajouta t-il en faisant une drôle de mimique.
    
    Il mordit dans le morceau de viande qu’il tenait dans la main et mâcha sans ajouter un mot. Soulagée de m’en tirer à si bon compte, je jetais quelques branches dans le feu provoquant une gerbe d’étincelles.
    
    La nuit était tombée. Mon mari et Fang étaient rassasiés pour la première fois depuis le naufrage. Le feu crépitait et répandait sa chaleur bienfaisante sur nos corps nus.
    
    — Vous m’avez sauvé la vie. Je commençais à défaillir, avoua Edouard en prenant ma main et en la portant à ses lèvres. Vous êtes surprenante, ma chère !
    
    — J’ai fait ce qu’il fallait, je répondis en serrant sa main.
    
    — C’est ce que je voulais dire, darling. Regardez Fang comme il a l’air heureux.
    
    L’adolescent se tenait debout près du feu et souriait en nous regardant. Les flammes éclairaient son corps d’éphèbe, mettant en valeur sa musculature et la courbe de ses fesses.
    
    — Il est beau comme un dieu, non ? Murmura mon mari, songeur.
    
    — Je trouve aussi. Je répondis sur le même ton.
    
    — Vous avez bien mérité un dessert, dit-il, en prenant un air matois.
    
    — À quoi pensez-vous, my Lord.
    
    Edouard et moi, caressions les bourses et la bite de notre amant couché sur le lit de feuilles sèches. Tour à tour, nous prenions son pénis en bouche et le sucions. Le garçon souriait visiblement heureux de notre bonne entente ...
    ... et des attentions que nous avions pour lui.
    
    Lorsque le sperme chaud jaillit de sa source, nous le partageâmes avec gourmandise, en riant comme des enfants.
    
    — Enfilez-vous sur sa belle bite, darling !
    
    — Qu’il soit fait selon votre désir, my Lord, répondis-je, comprenant ce qu’il avait en tête.
    
    L’idée de me faire baiser à la vue de mon mari m’excitait au plus haut point.
    
    Je l’embrassais sur les lèvres et allais m’accroupir sans pudeur sur le ventre de l’adolescent. Je saisis sa bite dans ma main et l’introduisis dans mon vagin. M’exhiber aussi crûment dans la lumière dansante des flammes du foyer, stimulait mes sens.
    
    Je m’empalais sur la queue dure et me laissais glisser de tout mon poids. Une fois bien installée, je me couchais sur le torse lisse de mon jeune amant et tendais mes fesses vers mon mari afin qu’il puisse jouir du spectacle.
    
    Mon mari n’allait-il pas me trouver trop délurée ?
    
    Je ne jouis pas comme avec Masaru, mais l’amour et la tendresse avaient aussi leur charme.
    
    Le lendemain, je laissais Edouard et Fang partirent ramasser les coquillages qu’ils cuiraient ensuite dans le feu.
    
    Libérée de mes angoisses de viols, je marchais d’un pas léger vers le campement des matelots, vêtue de cette chemise de mousseline qui leur plaisait tant.
    
    Honesto et Masaru m’accueillirent avec des cris de joie. Leur pénis se relevait rapidement en signe de bienvenue. Vivre nu assurait la sincérité visible du désir des hommes. Je souris de satisfaction et ...
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