L'île aux cochons (3)
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Alix, Source: Xstory
... On releva mes cuisses en les écartant. Un corps s’étendit sur mon ventre. Une bite entra dans mon cul et me bourra. Rodrigo ! J’étais si jouissive que je ne tardais pas à gémir de plaisir.
Je pris plaisir à cet enculage sauvage et ne m’en cachais pas. Mes cris raisonnèrent sur la voûte rocheuse. Je n’avais plus à me préoccuper de ma réputation. À part mon mari, tous les hommes de l’île m’avaient baisée.
Lorsque je sortis de la cabane, les jambes flageolantes, Masaru me tendit un morceau de viande grillée dans une feuille de palme et Honesto me donna à boire de l’eau fraîche.
Je mangeais la viande et bus en regardant les matelots. Ils avaient l’air satisfait. Je profitais de leurs bonnes dispositions.
— J’aimerais rapporter un peu de viande à mon mari et à Fang. Cela leur ferait du bien.
Masaru fit un signe d’assentiment.
— Vous êtes une bonne épouse. Revenez quand vous voulez. Il y aura toujours assez de viande pour tout le monde.
— Merci ! Dites-moi ! Comment avez-vous allumé ce feu ?
— On a trouvé les débris du canot dans les rochers. Il y avait un briquet dans le coffre, lança Rodrigo.
Masaru prépara des braises dans une coque de noix de coco. Je l’embrassais sur ses bajoues en caressant ses bourses avec reconnaissance. Cela me fit un drôle d’effet de sentir les lourds testicules pesés dans ma main. J’éprouvais une sorte d’allégresse instinctive d’appartenir au mâle le plus puissant de l’île !
Sur le chemin du retour vers l’abri, ma chemise de ...
... nuit à la main, le ventre, la chatte et le cul pleins, je cherchais comment expliquer la soudaine générosité de l’équipage à mon mari.
Fang souffla sur les braises et les premières flammes apparurent. J’applaudis, espérant détourner Edouard de sa méditation. Il avait écouté mon histoire, mais ne semblait pas convaincu.
— Ils vous ont donnée tout ça, comme ça, juste pour vos beaux yeux ? Lança t-il, l’air soupçonneux.
Il continua, matois.
— Il m’a bien semblé entendre des cris, tout à l’heure, dans cette direction.
Je baissais les yeux, le visage cramoisi.
— Je n’ai jamais su mentir. J’ai effectivement payé de ma personne, si vous voyez ce que je veux dire.
— Ils vous ont violée ? S’insurgea t-il aussitôt, se dressant sur ses pieds, près à en découdre.
— Mais non ! Ils sont triés sur le volet comme vous l’avez dit. C’était plutôt un échange de bons procédés.
— Avec tous les trois !
Il semblait effrayé et contrarié, à cette perspective. Je réalisais qu’effectivement, il pouvait sembler beaucoup à un Lord, que trois roturiers, furent-ils des marins exotiques, baisent, tour à tour, sa jeune épouse. Pour ménager sa susceptibilité aristocratique, je minimisais ma performance.
— Il n’y en avait qu’un au campement, le rassurais-je.
— Lequel ? Pas le garde du corps, j’espère ! Lança t-il d’un air effaré.
— Non ! Juste le mécano.
— Ah, le petit Rodrigo ! En tout cas, vous n’avez pas l’air traumatisé.
— Je vous choque ?
— Probablement pas ...