1. L'île aux cochons (3)


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... la poussée du formidable envahisseur.
    
    — Oooh ! Mon Dieu !
    
    J’avais l’impression que mon vagin gonflait de l’intérieur ! C’était à la fois doux et dur ! Cela n’avait rien de comparable avec mes récentes expériences. C’était fantastique !
    
    — N’y vas pas trop fort Masaru ! La jeune lady est plus étroite que les grosses femmes que tu fourres habituellement, cria Honesto du dehors, à moins que ce ne fut Rodrigo.
    
    Masaru répondit par un rire bruyant qui fit vibrer son ventre entre mes cuisses.
    
    — Excusez-le. Murmura t-il en resserrant sa prise sur mes fesses.
    
    — Huu ! Huu ! Je haletais, émue par la grossièreté de la plaisanterie.
    
    Masaru ne se montra pas aussi brutal que je le craignais. Il prit tout son temps, multipliant les aller et retour, suspendant sa progression afin que mon fourreau intime s’adapte aux dimensions extraordinaires de son phallus.
    
    L’épreuve était loin d’être aussi douloureuse que je le craignais, bien au contraire.
    
    — Ça va ? S’inquiéta t-il alors que je suffoquais de plaisir.
    
    Je lui fus confusément reconnaissante de s’enquérir de mon état.
    
    — Oui ! Oui ! Ça va ! Je vous remercie. Continuez, je vous prie. Pensez à vous retirer, murmurais-je.
    
    Alors, il me baisa vraiment ! Les lourds testicules battaient contre ma vulve, augmentant encore les sensations. Lorsque le bout dur de son sublime pénis heurta le fond de mon vagin, je poussais un cri de bête. Un plaisir merveilleux irradiait dans tout mon corps.
    
    J’imaginais le gros membre ...
    ... disparaître entièrement dans mon ventre.
    
    — Oooh, mon Diiieu !
    
    Mes gémissements s’amplifièrent sous les vagues délicieuses qui se succédaient rapidement. Un frisson délicieux parcourut ma colonne vertébrale et se propagea dans l’ensemble de mon corps, de la racine de mes cheveux aux bouts des orteils.
    
    Qu’est-ce qui m’arrivait ?
    
    Tout mon être frémit de la formidable jouissance qui m’emporta au septième ciel.
    
    L’orgasme fut si fort que j’entrais dans une sorte de transe. Rien n’avait plus d’importance que ce pieu de chair qui me défonçait si radicalement.
    
    Le corps saisit de convulsions, cuisses grandes ouvertes, le bassin allant au-devant de la grosse bitte, je râlais, bavais et pissais à jets saccadés, le visage cramoisi et les seins congestionnés.
    
    Son sperme brûlant inonda mon ventre dans une succession de jets puissants qui me remplirent la chatte.
    
    Le sumo poussa des grognements satisfaits en s’effondrant sur moi. Je me sentis mourir. Son jus était si abondant qu’il déborda autour de sa bite et coula entre mes fesses.
    
    — Oh ! Putain que c’est bon ! Depuis le temps que j’en rêvais, duchesse ! Grogna Masaru, avant de rouler lourdement sur le côté.
    
    Je pus recommencer à respirer.
    
    Masaru avait joui en moi. Il n’avait pas dû entendre mon avertissement ou l’avait oublié dans le feu de l’action. Tant pis ! Au point où j’en étais ! Si je devais tomber enceinte, c’était probablement déjà fait avec Fang.
    
    Je perçus une ombre dans l’ouverture de la cabane. ...
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