Un c4 à cause des fantasmes de mon mari ...
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
BDSM / Fétichisme
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... bien vouloir m’embaucher au poste que vous occupiez jadis.
Assise face à lui, je le regardai un instant intensément. Il baissa légèrement les yeux et sembla désemparé… il n’en menait vraiment pas large !
— Je n’ai rien contre le fait de vous rembaucher, monsieur Tapaje, toutefois, êtes-vous certain d’être en mesure d’assumer les conditions de travail auxquelles vous serez confrontées ici ? lui demandai-je tout en desserrant légèrement les genoux.
Par chance, pour une fois, je portais une culotte. Certes, de dentelles, elle s’avérait très suggestive et bien sûr, attira fatalement le regard de mon ex-patron qui en resta bouche bée. Je poursuivis :
— Vous avez vu, aujourd’hui j’en porte une !
— Euh… quoi… ?
— Eh bien, une culotte…, c’est plutôt rare, mais aujourd’hui j’en ai mis une !
Et je desserrai un peu plus encore mes jambes. J’étais bien consciente que je le prenais de court, mais l’air désemparé qu’il affichait m’amusait.
— Elle vous plaît ? Peut-être que vous préféreriez finalement me voir sans ? Cela peut s’arranger…, je peux encore l’enlever, vous savez !
En alliant le geste à la parole, je soulevai légèrement le bassin et commençai à faire glisser, doucement, le string que je portais ce jour-là vers le bas. Mon ex-patron en resta sans voix ! Ne sachant pas trop ce que je lui réservais, il me parut comme assommé, mais ne perdait rien de la scène pour autant. Alors que ma culotte n’était encore qu’à mi-fesses, je lui demandai :
— Je crois ...
... me rappeler que vous ne vous seriez pas fait prier pour me la retirer… Peut-être que vous préféreriez en fait m’en débarrasser vous-même ? Est-ce le cas, monsieur Tapage ?
En guise de réponse, il se leva et se rapprocha de moi, dégrafa la ceinture de son pantalon et le laissa tomber au sol, laissant par la même occasion se déployer un sexe déjà bien raide qui pointa dans ma direction. Tout en me regardant intensément dans les yeux, il s’accroupit pour se saisir de mon string et me le fit glisser aux chevilles. Une fois possesseur du pan de tissu dentelé, il le mit dans sa poche et tout en me regardant d’un air conquérant, s’apprêta à venir m’embrasser le minou. Posant un pied sur son épaule, je le repoussai prestement en lui disant :
— Pas-touche, nous sommes une entreprise respectable, monsieur ! Spécialisés dans le prêt-à-porter féminin, 90 % des employés sont des femmes. Nous dessinons, fabriquons et vendons exclusivement des sous-vêtements et paradoxalement, tout comme moi, le personnel n’en porte que rarement. Si je vous redonne votre emploi, il vous faudra l’accepter ! Je ne peux certes pas vous en vouloir si vous vous rincez l’œil, mais je vous préviens, interdiction de consommer… autrement, je vous vire ! Ne rangez donc votre engin, il n’aura aucune utilité ici. Quant à ma culotte, gardez-la avec vous, je vous l’offre de bon-cœur…, considérez cela comme un cadeau de bienvenue, Monsieur Tapaje !
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Et voilà comment les lubies saugrenues de mon ...