1. Un c4 à cause des fantasmes de mon mari ...


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou BDSM / Fétichisme Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... Cynthia, mais vous le saviez déjà, je présume. Une bonne chose de faite ! Parlons donc maintenant du second point qui me contrariait.
    
    — De quoi s’agit-il, chère Cynthia ?
    
    — Eh bien, mon licenciement que je considère abusif, bien sûr !
    
    — Quel licenciement ? Je suis d’accord avec vous, si vous ne désirez pas porter de culotte, c’est tout à fait votre droit. Cet abus de pouvoir et ce manque certain de goût dont a fait preuve votre supérieur hiérarchique mérite évidemment une sanction : Tapaje sera viré et sa place vous reviendra de droit. Promettez-moi juste de régulièrement venir en personne me faire des rapports détaillés de vos activités.
    
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    Mission accomplie… ! Le lendemain, je posais mes affaires dans l’ex bureau de Marc Tapaje qui, à regret, se retrouva au chômage.
    
    Comme promis, je rendis compte de mon travail à mon président deux à trois fois par semaine et Samuel ne démérita pas d’éloges à mon égard. Il fit aussi preuve d’un appétit vorace : mes fesses eurent régulièrement droit à une attention toute particulière, même si mon abricot, ainsi que ma bouche, ne furent pas épargnés par ses assauts pour autant. Sam Tirail aimait tant mes comptes-rendus qu’il se montra de plus en plus gourmand et me laissa aussi, en parallèle, de plus en plus de pouvoir au sein de son entreprise qui, des chemises bas de gamme, avait évolué pour se spécialiser dans la fabrication de sous-vêtements luxueux. Eh oui, du non-port de petites culottes, j’en étais ...
    ... arrivée à devenir directrice d’une entreprise les fabriquant. Quant à Jacques, mon mari, lui qui désirait jadis tant être cocu, s’en mordit finalement les doigts et s’aperçut à ses dépens que tous fantasmes n’étaient pas forcément voués à être réalisés.
    
    Les jours et les semaines passèrent donc intensément auprès de Sam qui ne manquait jamais une occasion de me la mettre ; Jacques lui, bien que jaloux, n’eut pas d’autres choix que d’accepter ses cocufiages loin d’être si idylliques qu’il l’avait imaginé. Eh oui, ses désirs candaulistes avaient malheureusement pour lui, disparu… bien trop tard assurément et il se consola de mes pieds qui lui restèrent réservés, Sam Tirail n’étant pas fétichiste.
    
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    Un jour, je trouvais sur mon bureau un CV des plus surprenants : Marc Tapaje ! Ce dernier, toujours sans emploi, tentait sa chance. Il devait être tombé bien bas pour oser ainsi me demander un travail ? Par curiosité… mais peut-être aussi un peu par jeu, je décidai de le recevoir.
    
    — Ah, monsieur Tapaje, je suis heureuse de vous revoir, m’exclamai-je un peu hypocritement tout en l’invitant à s’asseoir sur la banquette qui meublait mon bureau.
    
    — Cela fait des mois que je recherche en vain un emploi, madame Lefort. J’ai appris votre ascension au sein de l’entreprise et je ne peux que vous en féliciter. Alors, voilà, je tenais dans un premier temps à m’excuser humblement pour le différent que nous avons eu… et je vous serai vraiment reconnaissant si vous acceptiez de ...