1. Anniversaire de mariage manqué et pourtant très réussi


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Reveevasion, Source: Hds

    ... dans le regard de madame Minard qu’elle choisissait la solution la plus immédiate, Monsieur Paul lui indiqua la petite table basse d’un coin salon :
    
    - Montez sur la table pour vous y accroupir, lui ordonna-t-il.
    
    Elle obéit, en pensant avoir choisi la solution la moins contraignante. Lorsqu’elle dut monter sur ce promontoire qui avait des airs d’une scène de strip tease de cabaret, elle se baissa et ne put qu’écarter ses cuisses pour ne pas tomber, la jupe de cuir se retroussant avec impertinence. Tandis que Gino était resté debout les deux autres s’installèrent dans d’énormes fauteuils club d’où ils lui firent subir leurs regards vicelards et leurs sarcasmes salaces.
    
    Oh ! La garce elle est sans culotte…
    
    Hum ! Ces jarretelles rouges… ces bas noirs ….Quelle classe la bourge !
    
    Quel poilu fourni !
    
    Et la bouche du petit chat qui brille !
    
    On dirait qu’elle en bave déjà !
    
    Tiens le coup Gino qu’on se régale à notre tour !
    
    Elle se sentait perdue. Elle allait être livrée à ces rustres qui étaient visiblement prêts à tout lui faire subir. Monsieur Paul donna le départ d’un compte à rebours qui sonna le glas des derniers espoirs de Cathy. Elle ouvrit alors ses yeux qui s’étaient fermés sous les grossièretés de ce public odieux et se trouva face à la bite de Gino dont le gland profita de la stupéfaction de la femme pour entrer dans sa bouche sans prévenir. C’était une double découverte pour Madame Minard. La première était l’intrusion inédite pour elle d’un ...
    ... sexe dans sa bouche. La seconde était la révélation d’une bite dont les proportions dépassaient son imagination. Son mari, effectivement, avait une queue aussi chétive que son cerveau était creux. Elle ne savait comment s’y prendre pour satisfaire son partenaire obligé et éviter ainsi l’humiliation d’une partouze. Son regard implora celui de Gino qui comprenait qu’il était le premier homme à pénétrer la bouche de Cathy. En prenant le risque de décevoir son patron et ses collègues il s’efforça de suppléer la maladresse de sa partenaire par son savoir-faire. Il laissait à la jeune femme qui était à la limite de la suffocation le temps de reprendre ses esprits et en coulissant sur sa langue dont elle ne savait que faire il essayait de stimuler son imagination. Pendant ce temps la voix de Monsieur Paul égrenait les secondes comme un moine paillard son chapelet tandis que les deux autres redevenus muets devant le spectacle émouvant du visage de l’épouse et excitant des cuisses gainées de nylon sous la jupe retroussée.
    
    Gino s’épuisait à trouver les ressources pour une éjaculation incertaine dans ce si court délai. Cette fille lui plaisait trop pour l’humilier ainsi. Ses deux collègues étaient des soudards qui ne la méritaient pas. Il se rendit compte qu’il glissait non seulement dans la gorge de la femme mais aussi sur un pente dangereuse pour son propre avenir au sein du clan dirigé par le sinistre Monsieur Paul.
    
    La voix de stentor du patron annonçait les quinze dernières ...
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