Les Parques 7 & 8 /8
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
uniforme,
noculotte,
Masturbation
Oral
policier,
vengeance,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... enchantée, y recueille des perles de mouille qu’elle étale en remontant sur les collines mordorées de sa vulve. Parfois, les doigts glissent brièvement vers le fouillis grenat de ses luxuriantes nymphettes déployées, provoquant un sursaut frissonnant de leur propriétaire.
En face d’elle, spectateur subjugué, Antonin admire ce crépon délicat des petites lèvres dépliées, ce délicat papillon rougeoyant. Il s’étonne encore et encore de l’insolence prodigieuse du clitoris dressé qu’il aperçoit lorsque la paume le dévoile en remontant plus haut sur le pubis…
Le spectacle, lascif et définitivement impudique, est délicieusement insupportable : n’y tenant plus, il décide de libérer sa queue emprisonnée. Alors qu’il ouvre son pantalon, Amélie l’encourage :
— Il est bien temps que tu la libères, ta queue, elle devait souffrir, à l’étroit !
La flamberge tavelée se dresse, colonne amarante où courent les lacets de veines gonflées ; le gland écarlate brille de liqueur.
— Hum…hummm… belle bête, murmure la jeune femme en se caressant toujours.
S’ancrant sur ses jambes, elle soulève un instant ses fesses, passe sa main libre sous son cul, s’assied sur cette main dont elle insinue deux doigts dans l’entrée de son antre juteux.
— Enlève donc ton fute que je voie bien tes couilles aussi !
Tonin s’exécute, se déshabille même totalement avant de se rasseoir, la bite en main qu’il n’ose pas branler, de peur de provoquer l’irréparable. Il veut profiter du spectacle offert par ...
... son adorable salope qui se fouille la grotte d’une main et s’agace le clito de l’autre. Il voit ses hanches bouger, chalouper. Puis, brusquement la main droite abandonne le clito, file vers une des fines épaulettes, fait sauter un insoupçonnable bouton pression. La deuxième bretelle connaît le même traitement un quart de seconde plus tard, la robe s’effondre, libère les seins tendus et leurs fruits dardés, hypnotiques jumeaux arrogants, sombres et granuleux.
— Oh, viens, implore la jeune femme déchaînée, donne-moi ta bite, mets-moi ta queue dans la bouche, je veux la sucer, je veux la…
La fin de sa phrase finit en borborygmes incompréhensibles, mais peu importe, il comprend parfaitement ce qu’elle voulait dire. Elle a avalé sa queue, la suce, la lèche, la noie dans sa salive, lui tourmente le gland avec une langue tour à tour pointue, incisive, large, râpeuse.
Lui, caresse son sein droit, lui triture le téton, le malaxe avec douceur, fermeté, fougue, il englobe le sein, l’emprisonne, le presse, le flatte avec douceur, l’égratigne avec ses ongles.
Elle, ne relâche sa tige parfois que pour suçoter un instant ses couilles rétrécies, les lèche, les suçote, mais reviens très vite engloutir la bite frémissante tout en branlant sa foune de plus en plus vite, de plus en plus fort, et son corps s’arque, tendu vers le plaisir.
Il voudrait lui aussi plonger ses doigts dans le chaudron bouillonnant, profiter de son incroyable guignol qui se dresse si insolemment entre les ...