Les Parques 7 & 8 /8
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
uniforme,
noculotte,
Masturbation
Oral
policier,
vengeance,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... les tétons. Certes, il y a bien un voile pour relier les pans de l’ensemble, mais il est si léger, si discret, si transparent, qu’il ne masque rien de ses appâts. Et quand elle se tourne, pour se faire admirer, il faut descendre à la naissance de la vallée fessière pour trouver les premiers cm² de tissu. Et tout ça tient aux épaules par des cordelettes fines comme des brins de paille. À se demander comment l’ensemble peut ne pas glisser au sol au premier pas.
Et pourtant, elle marche Amélie, avec la démarche exagérément chaloupée des top-modèles, sans qu’un téton ne vienne pourtant glisser sous la mousseline diaphane, elle s’assied, avec élégance, dans le fauteuil, tout juste en face lui, sans qu’il puisse même deviner les contours de sa figue.
Total control !
Le bouchon de la bouteille saute et Tonin remplit les verres qui, avec l’Aperol, prennent une belle couleur orangée.
Mutin, il tend un verre à sa belle, sans trop l’approcher, pour l’obliger à se pencher.
— Damned, lâche-t-il, encore raté !
Amélie sourit, dévoilant ses dents blanches entre ses lèvres qu’elle a habillées d’un rouge profond, mat. Ils trinquent, ils boivent une gorgée en se regardant dans les yeux. Tonin se cale contre le dossier du canapé, elle, croise ses merveilleuses jambes. Tonin toussote, cherchant comment briser le silence :
— Je… je me disais,… pour ton tableau, tu crois qu’il n’y aurait eu que des hommes pour descendre le voir si…
Amélie rit, secoue la tête doucement, se ...
... moquant gentiment de son compagnon.
— Je me demandais comment tu allais t’y prendre pour lancer la conversation ! Mais, note, ça me fait plaisir de voir que je suis capable de t’embrouiller les neurones, de te déstabiliser avec juste un petit bout de tissu…
— Pour être franc, je dois avouer que tu me déstabilises sûrement beaucoup plus avec ce tout petit bout de tissu que si tu t’étais présentée totalement nue…
— Tu aimes donc… si je comprends bien… C’est assez… sexy… pour toi ?
Amélie joue de ses plus basses octaves, sa voix est un velours à donner des frissons ; elle s’ingénie à marquer des pauses qu’elle électrise par de furtifs passages de langue sur ses lèvres.
— Si je n’étais pas bien élevé, j’aurais déjà renversé la table basse pour te sauter dessus !
— Tout doux, ardent chevalier… est-ce ainsi qu’on parle à sa mie ?
— Princesse, souffrez que je déblaie le passage pour me jeter à vos genoux et vous faire ma cour ! déclare, la main sur le cœur, l’ardent chevalier en entrant dans le jeu.
— Diantre, calmez-vous mon Prince, et restez à distance ! Je pressens que vous ne tomberiez à mes genoux… que pour les écarter derechef et glisser votre nez dans mes petites affaires. Et là, votre langue ne s’agiterait plus que pour débusquer un timide lutin à cette heure endormi au bord de la rivière charmante. Comme vous n’êtes pas homme à parler la bouche pleine, vous me priveriez de fait des mots tendres et troublants qui pourraient m’émouvoir. Faites-moi votre cour, ...