Les Parques 7 & 8 /8
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
uniforme,
noculotte,
Masturbation
Oral
policier,
vengeance,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... galante et inventive…
Là, c’est beaucoup demander ! Le « prince » est plutôt désarçonné par la demande formulée, il en reste coi un moment !Cour galante et inventive ? Et en alexandrins peut-être aussi, non ?
Amélie comprend qu’elle en demande un peu trop et capitule :
— Bon d’accord, je reconnais que je n’ai pas vraiment la tenue à jouer les princesses ! Mais n’en profite pas pour me sauter dessus. On n’a le temps… savoure, tu n’as pas encore TOUT vu !
— Ah ben ça, je ne sais pas comment tu t’y prends, mais le fait est… que je n’ai encore RIEN vu, tu veux dire !
— …
Amélie croise et décroise les jambes, avec grâce, sans précipitation, mais sans toujours rien dévoiler de son charmant trésor.
— Arrrgh !
— Mais bon, pour en revenir à ta question à propos du tableau, eh bien, non, je pense que des femmes AUSSI se seraient précipitées au sous-sol. J’en connais même une qui aurait sans doute exigé un passe permanent !
— Une certaine… petite eurasienne non ?
Amélie rit, renversant la tête en arrière. Dans le mouvement, une aréole apparaît furtivement sous le voile avant de retourner rapidement se cacher. Antonin veut enfoncer le clou :
— Quelque chose me dit que vous êtes très proches !
— Ça te choquerait ?
Quand on cherche les emmerdes, on les trouve ! Antonin ne sait que répondre, il voulait embarrasser Amélie et c’est lui qui se retrouve coincé. Des images fantasmées des deux amies se caressant défilent dans son esprit. Il se décide à répondre, ...
... timidement :
— N… nnon
— Pas très convaincant comme réponse… deux femmes s’embrassant, ça te choque !
— Non, répond-il plus fermement
Amélie décroise lentement ses jambes
— Et deux femmes, nues, s’embrassant, se caressant, ça ne te choquerait pas non plus ?
— NON !
La jeune femme prend son verre, boit une gorgée, sans quitter son amant des yeux. Elle repose très lentement son verre, s’adosse profondément dans son fauteuil, entrouvrant légèrement ses cuisses.
— Et deux femmes, têtes bêches, langues affolées, se broutant l’une l’autre, ça te choquerait ?
— Mais non, bien sûr que non, avoue-t-il la voix mal assurée.
Il est sur des charbons ardents, il bande douloureusement, la bite coincée dans son pantalon, gluante de son désir. Amélie écarte un peu plus les cuisses, expose sa chatte visiblement trempée et se caresse doucement les cuisses.
— Alors tu ne les verrais pas comme deux fliquettes dépravées à chasser de ton équipe ?
— Mais non, grande bête, bien sûr que non !
Amélie enfonce un peu plus ses épaules dans le dossier, avance son bassin jusqu’au bord du fauteuil, écartèle ses cuisses, masque en partie son chat en posant une main sur son pubis et écarte ses lèvres entre index et majeur.
— Mais non, bien au contraire, je pense ! Tu adorerais les mater en train de se caresser… de se branler… comme ceci… pas vrai ?
Elle se caresse doucement, promenant ses doigts sur ses grandes lèvres, glissant vers le passage déjà entrebâillé de sa cheminée ...