1. Les Parques 7 & 8 /8


    Datte: 25/09/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, uniforme, noculotte, Masturbation Oral policier, vengeance, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... tuer ? Un besoin ? Mais pourquoi ? Pas logique, pas du tout, mais alors pas du tout logique ! Mais bon, ce gars-là est tout sauf logique. C’est d’abord et avant tout un désaxé. Enfin, on essayera d’en comprendre un peu plus quand il aura été transféré chez nous…
    
    Le transfert avait eu lieu dès le lendemain, mais personne n’en saurait jamais davantage. Au moment de quitter le fourgon des gendarmes, Estéban avait réussi à s’emparer de l’arme de service d’un de ses convoyeurs et s’était tiré une balle en pleine tête. Fin de l’histoire !
    
    Amélie avait été surprise par cette fin. Elle ne comprenait pas qu’un tel lâche, un violeur de second rang, trouve le courage d’un tel geste. Surprise et déçue de ne pas pouvoir éclaircir son parcours, ses motivations, ses névroses. Surprise, déçue et vexée surtout de ne pas savoir comment il avait pu entrer dans son appartement pour faire son shopping avant de prendre le large vers la Suisse. Bien sûr, il avait eu mille occasions de prélever ses empreintes sur des verres, des bouteilles, chez lui, dans le loft, d’en fabriquer des copies avec de la résine et leurrer ainsi son système de sécurité. Mais pour le code à quatre chiffres, il avait fait comment ? Lumière UV pour découvrir les quatre touches utilisées, quelques essais et un formidable coup de bol ? Possible ! Du coup, elle utilisait désormais un code à neuf chiffres et envisageait des systèmes supplémentaires à l’intérieur de l’appartement, lasers, détecteurs de mouvements et de ...
    ... chaleur, commande vocale et reconnaissance rétinienne ! Avec ça, ce serait un méga fort Knox ! Personne ne pourrait jamais faire main basse sur son Chef-d’œuvre !
    
    Heureusement, Antonin a su lui changer les idées, su l’aider à effacer les petites et grandes humiliations subies dans cette affaire. Elle n’est pas du genre « sado-maso » avait-elle dit, ça tombait bien, lui était du genre caresseur, longs préliminaires, sentimental et romantique.
    
    Et il n’est pas près de se risquer de lui suggérer de porter un string fendu ! Pour l’instant, elle l’a en travers de la gorge, ce putain de string fendu !
    
    Antonin est confortablement installé dans le canapé du salon, prêt au faire sauter le bouchon du Prosecco. Prêt à bien d’autres choses encore ! Et ça fait un moment qu’il est prêt ! Antonin est patient, mais tout de même !
    
    Sa patience est récompensée : Amélie sort de la salle de bains, s’avance dans le salon et s’arrête à trois mètres du canapé. Elle porte une robe ahurissante. Moulante, bien sûr, une véritable seconde peau. Une robe blanche, qui fait un magnifique contraste avec son corps bronzé. Blanche pour ce qui est du tissu, mais, du tissu il n’y en pas lourd ! D’abord parce la robe est courte, très très courte, ras le bonbon. Dans le Midi, on dirait « tellement courte qu’on lui aperçoit quasi la figoulette ». Le décolleté est vertigineux, un V qui dégringole largement sous le nombril ; un V large, si large dans le haut qu’il dévoile les rondeurs fermes des seins, frise ...
«12...181920...23»