On se déshabillera plus tard
Datte: 24/09/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
médical,
revede,
pénétratio,
Humour
h+medical,
Auteur: Jeff169, Source: Revebebe
... moment que je suis avec Anne Laure, tout cela n’a aucune importance.
À peine entrée, elle retire ses chaussures, pendant que je claque la porte. J’aime bien le geste suave d’une femme qui se déchausse, les yeux dans le vague. Alors, elle m’ordonne de ne pas bouger, s’agenouille pour m’enlever mocassins et chaussettes de gestes efficaces, puis, se relevant demande :
— La chambre, c’est par là ?
— Oui, je dis d’un souffle.
Alors, elle empoigne le tissu de mon pantalon, à l’entrejambe, puis m’entraîne dans la direction indiquée, se déplace dans l’appartement, moi dans son sillage. Si j’étais nu, c’est clair qu’elle me remorquerait par la queue. Arrivés dans la chambre sombre aux rideaux encore tirés, elle entreprend la ceinture, les premiers boutons, puis d’un même geste, abaisse pantalon et slip.
— Oui ! dit-elle, en contemplant la queue, celle qui n’a pas débandé depuis le restaurant.
Apparemment, c’est la bonne taille, ouf. Puis elle me pousse en arrière, que je m’étale de dos sur le matelas. Ensuite, une fois sur le lit, elle s’avance de quelques pas courts et lourds, conséquents d’une marche à genoux, soulève sa robe pour m’enjamber, me permettant de constater l’absence de culotte. Je vois avancer ses fortes cuisses rapprochant sa chatte noire, puis, s’arrêtant juste au-dessus de ma queue qu’elle empoigne d’une main, elle s’assoit sur moi en s’empalant d’un mouvement.
— Han ! Soufflons-nous d’une seule voix.
Je me remémore alors le trajet partagé en ...
... voiture, silencieux, je ne pensais qu’à nos futures galipettes, me demandant ce que pouvait bien penser Anne Laure. Apparemment, nous partagions cette impérieuse nécessité de ne pas nous tripoter tout partout, en l’attente de l’intimité pour libérer la force qui va nous chavirer, comme si rien à la hauteur de notre désir ne pouvait se tenter ailleurs que dans un nid douillet.
J’ai compris maintenant que la belle est assez cérébrale pour se retrouver ainsi dégoulinant d’évocations. Voilà qu’après quelques secondes de répit, elle m’enserre bien la queue de son vagin musclé, relève une fois les fesses, puis se laisse à nouveau tomber lourdement.
— Han ! faisons-nous tous les deux, comme sans le faire exprès.
La polissonne recommence alors le mouvement de cette délicieuse façon. Elle m’enserre la queue de son vagin, plutôt initié que novice, puis lève les fesses, faisant ressortir lentement la verge, serrant alors le plus possible. Enfin, à la limite de la sortie, elle se laisse tomber brutalement tout en se montrant alors ouverte, béante, effet probable d’une détente musculaire adéquate. Han !
Le plus délicieux, c’est qu’après trois secondes, le temps de reprendre nos souffles, de son vagin alors béant, elle m’enserre subitement le vit, comme le ferait une main, avant de reprendre la remontée. J’ai juste le temps de penser qu’elle s’est bien moquée de moi et qu’elle a dû avoir une adolescence agitée. Quand je vais raconter cela, me dis-je en pensant à Sylvie.
Au ...