1. Le Mâle de mer chapitre 2


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Anal Auteur: seaetsun35, Source: xHamster

    ... En appui sur ses bras, elle m’offre sa poitrine ronde, pleine, ferme. Je ne discerne que peu son visage mais je crois y voir une sorte de béatitude. Je n’ai encore rien fait que subir ; avec énormément de plaisir ; ses assauts. Cette liane use de toute sa souplesse pour me faire sentir a quel point elle attend une suite lente et profonde a sa quête.
    
    A genoux cette fois, telle une cavalière, son bassin me fait sentir un besoin irrépressible de se laisser choir lourdement. Je suis prêt a la saillir, lentement, profondément. Elle semble cette fois s’abandonner.
    
    Pour la planter bien verticalement, je pose mes mains sur ses seins. Ses pointes au creux de mes paumes, je pétri, j’écrase, je triture les sphères. Elle soupire et je la sens céder. Ses cuisses qui la retenaient en lévitation, juste au bout de mon pieu, sont en train de fléchir. Pour moi le moment est venu de me cambrer pour venir à la rencontre de son calice.
    
    J’ai vingt ans.
    
    « non, …… ta langue d’abord, tes doigts….. Tous tes doigts ….. partout. »
    
    En se cambrant légèrement, Agathe fait dévier la trajectoire de mon sexe. Comme je suis d’une raideur très satisfaisante, elle frotte doucement ses lèvres trempées contre ma tige. Elle est d’une habileté extraordinaire.
    
    D’une main j’ai saisi mon manche et je la caresse très précisément de son joli bouton a sa petite rondelle. Les va et vient sur ce chemin provoquent a chaque passage une coulée supplémentaire qui lubrifie a souhait le travail.
    
    Nous ...
    ... avons calé nos mouvements sur les petites vagues qui nous bercent doucement.
    
    Je n’en peux plus, il faut que je déguste son fruit juteux. Je me glisse sous elle. Elle s’ouvre et me tend sa fente baveuse. A petits coup de langue d’abord puis avec des pénétrations plus précises, j’ouvre le fruit. Son odeur est fraiche, iodée, comme une huitre que l’on avale d’un coup. Elle est quasiment assise sur moi. Son antre contre ma bouche. C’est une sorte de baisé mais les lèvres sont plus fines, plus frêles, plus détachées. Je les suce, les aspire, ma langue entre, fouille, découvre, investit, se retire.
    
    Agathe semble jouir à répétition. Ses petits cris et ses gros soupirs sont couverts par les bruits ambiants du bateau. Elle a la bonne idée d’abandonner ma tige car, à la moindre caresse, je me répandrais en longs traits.
    
    Quand la diablesse choisit de m’offrir sa petite rondelle, ma langue force le passage étroit et détend lentement les anneaux. Assez facilement j’entre et découvre la souplesse de ses muscles qui me laissent facilement le passage.
    
    Tous ses mouvements semblent parfaitement contrôlés. Elle prend un plaisir très fort mais très bien dosé. Elle mène la chose à son rythme. C’est merveilleux.
    
    Dans cet enchevêtrement, j’ai pu ramener un bras vers ses fesses. Je caresse et rapidement je deviens plus précis. Un pouce d’abord puis deux doigts entre dans la fente dégoulinante. Avec les autres doigts, je m’occupe de son clito. Ce petit appendice, caressé en même temps à ...
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