Le Mâle de mer chapitre 2
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Première fois
Anal
Auteur: seaetsun35, Source: xHamster
Quand je me glisse sous ma couette, très vite je me rends compte qu’elle est occupée.
« Agathe ? mais tu t’es trompée de cabine
• Non non
• Mais enfin tu déconnes complètement, sort de la
• Dis moi, me répond-elle, si tu imagines que je ne t’ai pas remarqué cet aprèm en train de t’ajuster. C’était à cause de quoi ??? tu n’arrêtais pas de me mater
• Bon enfin oui mais il n’y avait aucune arrière pensée…..
• Tu vas faire croire cela à qui ?? à ma tante ??
• Et ton sexe qui grandissait a vue d’œil, et ton regard. A chaque fois que nos yeux se croisaient je te surprenais en train de détailler mon cul.
• Agathe, n’abuse pas de la situation.
• Je n’ai aucune intention d’en abuser mon cher capitaine, mais seulement d’en user. »
Tout en discutant, la diablesse s’est collée à moi. Nous sommes sur le coté, face à face. J’ai l’air d’une mobylette sur sa béquille. Les bras de l’allumeuse se sont glissés autour de mon cou. Je suis un peu tétanisé. Ma conscience ne cesse de me dire : « mais mon pauvre vieux tu es complètement malade, une nana de 25 ans alors que tu en as 60. » Mon corps lui ne se pose aucune question. Mon cœur, ha mon cœur toujours prêt à s’emballer.
« N’imagine rien d’autre que ce moment, me dit elle. Toi, moi et notre désir, rien d’autre. Pas de promesses, pas de serments, pas de phrases toutes faites. Juste la vérité de nos envies. Je t’ai observé depuis ce matin, tu es « l’homme » que j’ai envie de posséder depuis pas mal de ...
... temps.
En ce qui concerne mes envies, il serait difficile de dire qu’elles ne sont pas la. De toute façon, la réticence initiale dont je faisais preuve s’est totalement diluée dans la fougue du baiser qu’Agathe vient de me donner. C’est un baiser plein, moelleux, entier, généreux. Ce n’est pas un de ces baisers du bout des lèvres, non. Elle s’est complètement collée à moi. Chaque muscle de son corps est venu contre ma peau. Les épaules, les seins, les jambes, le ventre, sont contre moi. Ses lèvres se sont ouvertes et sa langue s’est insinuée contre ma langue. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais j’ai sombré dans une sorte de comas de bonheur.
En ondulant de ses hanches agiles, sans même y toucher, elle guide mon pieu vers sa fente humide. Quand mon gland la pénètre, son souffle s’arrête, son baiser s’accentue encore, comme si elle voulait que j’entre en elle par la aussi. Elle bloque totalement les muscles de son corps. Seules nos langues se délectent l’une de l’autre et son bassin, quasiment bloqué mesure avec brio la vitesse et l’intensité de la « non pénétration ». Ma grosse fraise est à peine engagée et déjà je ressens cette sensation unique qui nous porte au bonheur.
Elle a pris l’initiative et maitrise son art à merveille. Nous roulons sur le coté. Elle se trouve sur moi, me chevauchant. Mon dard, que je tente de maitriser, connait une érection que je n’aurais pas imaginée il y a quelques heures. Je rajeunis à chaque minute.
Elle s’est à présent redressée. ...