1. Le Mâle de mer chapitre 2


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Anal Auteur: seaetsun35, Source: xHamster

    ... quelques minutes avant, cette chose qu’elle déguste avec avidité mais précautions, était engagée dans l’intimité de sa nièce . La liqueur qui s’est écoulée avant même qu’elle me sollicite, doit sans doute l’interroger.
    
    • humm tu as une odeur de femme. Personne ne te l’avait dit avant ? C’est la première fois que je ….enfin… suce un homme avec une telle odeur. Je n’ai pas connu beaucoup d’hommes mais les autres avaient un parfum sexuel plus….. mâle.
    
    • Je pense que chacun a son odeur, regarde les rousses, elles aussi ont une odeur particulière.
    
    • Viens, descend.
    
    Pour le moment, et dans ma position, je n’avais vu que la tête de ma partenaire. En me glissant dans le carré, je devine, dans la pénombre, le corps de celle qui quelques minutes auparavant n’était qu’une bonne équipière . Elle ne porte qu’une culotte assez ample et sa silhouette est agréable. Elle s’approche. Naïvement je tends mes lèvres mais elle détourne la tête et me susurre quelques mots a l’oreille. Je ne peux me retenir :
    
    • non pas toi enfin tu déconnes
    
    • aller, il ne me le propose jamais, j’ai bien essayé toute seule mais ce n’est pas pareil, les godes c’est froid. Paul n’a jamais le temps et sa culture, son éducation le fige complètement. Tu comprends, la position du missionnaire j’en ai marre
    
    • Elodie, je ne peux pas, ta nièce est la à coté et ton mari ?
    
    • On s’en fout, fait le quoi. Ton sexe a la bonne taille Ma nièce est tellement coincée la dessus qu’elle préférera faire ...
    ... semblant de ne rien entendre.
    
    Tout en quémandant, ses mains n’ont cessé de flatter ma tige. En même temps, elle m’a tourné le dos et cette fois, les mains en appui sur la table du carré, elle me tend sa croupe. L’invitation est trop forte ou plus tôt je n’ai plus aucune volonté.
    
    • Viens, encule-moi comme une ignoble salope. Baise moi, prend moi comme une bête. Tu me fais mouiller, passe ta main sur mes cuisses. Vas-y Je suis ton objet, fais toi plaisir, fais moi plaisir.
    
    Elle a prononce ces mots dans un souffle. Sa respiration est courte. Elle se cambre encore. Ses fesses sont a la bonne hauteur. Je m’approche. J’agrippe ses épaules, je délaisse ses seins. J’aide de la main mon manche bien raide a se courber vers la fente dégoulinante. Effectivement, quelques brèves insinuations me font découvrir un marécage. Avec deux doigts je récupère le précieux liquide et tartine abondamment la raie et l’orifice duquel elle espère tellement le dépucelage.
    
    C’est elle qui me guide. Elle répond a ma première pression par un coup de rein. J’ai oublié tout le reste, la Croustillante, Agathe, son mari. Je ne peux plus, je ne veux plus me défiler. Je vais la saillir comme un étalon entre dans une jument.
    
    J’espère seulement que Agathe aura la pudeur de rester ou elle est. Elle ne peut pas ne pas entendre les craquements du plancher. Elle ne peut pas ignorer le rythme de ces bruits. Nos souffles ne peuvent que l’inciter a ouvrir la porte.
    
    Très doucement, je sens le passage se faire. ...
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