Sous les blouses des collègues. (3)
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... effleurer ma toison pubienne et redescendaient pratiquement jusqu’aux genoux, j’avais l’impression qu’ils se promenaient, mais je savais qu’elle était en train de m’exciter.
— J’adore l’odeur de ton minou et la douceur de ta peau, ma chérie. Tes collègues m’ont dit que tu avais un corps de rêve, mais maintenant que je me retrouve en face, jamais je n’aurais cru qu’il l’était à ce point. Ton corps appelle les caresses, les baisers et l’amour.
Christiane a fini par se taire, car elle était en train de descendre à la cave, elle a pris tout son temps, j’avais l’impression qu’elle voulait faire durer le plaisir ; mais surtout le désir de ma part. Finalement, j’ai commencé à sentir son souffle chaud sur ma toison humide, je savais que pour l’instant, sa langue n’était pas en contact, juste sa respiration, mais même cela, ça me faisait de l’effet. Finalement, sa langue a fini par se faufiler un petit passage à travers mes poils, pour accéder directement à mon clito. J’ai fermé les yeux, mais je pense surtout qu’elle m’a entendue soupirer, car j’attendais ce moment depuis maintenant très longtemps. Elle s’est attardée un long moment sur mon petit appendice si sensible, elle me faisait tellement de bien que j’avais envie de serrer mes cuisses, mais ses mains me les tenaient fermement écartées. Je pense qu’elle était consciente qu’elle me faisait un bien monstre, et elle insistait à cet endroit comme un fait exprès.
Avec sa bouche, elle aspirait mon clito, et avec sa langue ...
... elle en chatouillait l’extrémité. Je pense qu’une femme normalement constituée se serait mise à crier depuis bien longtemps, mais je savais que si je faisais ça, le service allait venir voir ce qui se passait dans le bureau de Christiane.
Ma supérieure a fini par abandonner mon petit bouton de plaisir, pour descendre jusqu’à mon vagin où là, une véritable source de cyprine coulait à flots. Quand j’ai vu le temps qu’elle a passé à cet endroit, j’ai réalisé qu’elle ne voulait pas gaspiller une seule goutte de mon nectar féminin. Je pense qu’elle était carrément en train de me faire ma toilette intime, vous avouerez que ce n’est pas commun de la part de votre supérieure. J’essayais désormais de m’allonger sur son bureau, pour lui faciliter l’accès le plus loin possible en moi. Pour une question d’équilibre, je n’ai pas pu faire ça en une seule fois, c’est ainsi que mes mains se sont posées à des endroits que je ne voyais pas, j’ai senti que c’était des feuilles. Je me suis arrangée a éloigner les feuilles, pour poser mes mains à même le bois de son bureau. La position était désormais sûre, cela me donnait une étape intermédiaire avant de pouvoir m’allonger.
Cette position avait le mérite de me faire aussi travailler ma souplesse, Christiane avait maintenant la possibilité de promener sa langue jusqu’à mon petit trou, et elle ne s’en privait pas.
La façon dont elle était en train de déposer de la salive sur mon petit trou laissait supposer qu’elle allait y glisser un doigt ...