1. Sous les blouses des collègues. (3)


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... fauteuil où je suis restée assise un petit bout de temps, et effectivement, il y avait une belle tache de cyprine dessus. Christiane a souri quand elle a constaté la marque, puis s’est approchée de moi et nous nous sommes retrouvées face à face, à aucun moment elle n’a joué de son autorité quand elle est venue m’embrasser. Nous nous sommes mises à échanger un baiser tout naturellement, c’est même moi qui de mon bras droit, l’ai saisie par la taille pour la plaquer contre moi. Il n’y a pas à dire, Christiane était d’une grande douceur et pour cela, elle était vraiment irrésistible. Ses mains se sont positionnées dans mon dos, comme si elle aussi voulait me tenir. Ma supérieure s’est légèrement écartée de moi, sa main droite est partie se faufiler dans le bas de ma blouse, pour aller se mettre à me caresser ma toison intime.
    
    Dès que ses doigts sont entrés en contact avec mes poils pubiens, cela a été plus fort que moi, je l’ai plaquée de nouveau contre moi, mais surtout mon baiser était devenu encore plus passionné. Depuis que j’étais entrée dans son bureau, je mourrais d’envie d’elle, nos regards se croisaient et il n’y avait pas une trace d’obscénités, mais que du désir.
    
    — Tes collègues m’ont dit que tu avais un minou très soyeux et surtout succulent. Accepterais-tu que je te fasse une petite langue ?
    
    C’était si gentiment demandé qu’en signe d’approbation, j’ai fermé les yeux, elle a compris qu’elle pouvait glisser les doigts et plus encore, si elle le désirait. ...
    ... Toujours avec beaucoup de délicatesse, ses doigts qui étaient désormais humides de ma cyprine, sont partis à la découverte de mon intimité. Bien qu’elle soit vêtue d’une robe sous sa blouse, je pouvais aisément sentir la pointe de ses tétons érigés qui étaient presque en contact avec les miens. Pendant de longues minutes où j’aurais voulu que la trotteuse s’arrête, Christiane m’a fait vraiment beaucoup de bien, j’étais vraiment sous le charme de cette femme.
    
    — Est-ce que je peux descendre à la cave, venir te butiner la friandise ?
    
    C’est sur ces mots que Christiane était en train de s’installer confortablement dans le fauteuil qu’elle avait rapproché de moi, elle savait que je ne dirais rien, elle devait même se douter que je n’attendais que ça. Elle a déboutonné le bas de ma blouse, puis en a écarté les pans, elle avait une vue imprenable sur mon intimité qui brillait de désir et sentait le plaisir.
    
    Elle a écarté au maximum mes cuisses puis a posé mes pieds sur les accoudoirs de son fauteuil. Quand j’ai senti ses mains douces et chaudes se poser au milieu de mes cuisses, cela m’a fait un frisson à travers le corps. J’ai baissé les yeux et j’ai croisé son regard qui était plein de douceur, j’avais l’impression qu’elle était en train de m’admirer, je me sentais un chef-d’œuvre à ses yeux. Ses mains, qui maintenant étaient en train de me caresser l’intérieur des cuisses, étaient surtout en train de me chauffer l’intérieur de mon entrejambe. Ses doigts remontaient jusqu’à ...
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