1. Sous les blouses des collègues. (3)


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut, c’est votre folle de lycra.
    
    J’étais vraiment en train de me délecter de l’entrejambe de ces deux femmes alors qu’Elodie, en plus de me caresser les épaules, s’amusait à me titiller la pointe des seins. Je crois que cette partie de broute minou était appelée à être mémorable, au fond de moi je me demandais si c’était la même chose tous les soirs, ou juste des séances pour faciliter mon intégration au sein du groupe. Toujours est-il que je me suis tellement bien appliquée que Coralie a fini par prendre son pied, sans gêne devant nous trois, et c’est Élodie qui s’est chargée de lui rouler une gamelle pour la faire taire. De mon côté, je suis restée imperturbable, j’ai continué à lui butiner sa friandise de longues minutes jusqu’à ce que je me rende compte que cela devenait insupportable pour elle. Une fois le cas Coralie terminé, je suis partie m’occuper de Samantha qui se trouvait juste à côté, là c’était vraiment un plaisir, car chaque coup de langue était payant au niveau réaction.
    
    Alors que Coralie était plutôt brute de décoffrage, Samantha, c’était plutôt dans la finesse, la sensibilité et la douceur.
    
    Bien que les deux femmes soient sans doute aussi propres l’une que l’autre, l’odeur de cyprine de Samantha était bien moins forte que sa collègue, qui était en train de se remettre de ses émotions. J’étais consciente que cela risquait d’être un peu plus long pour Samantha, mais c’était vraiment un plaisir que de s’attarder entre ses jambes. Ma langue ...
    ... adorait se faufiler entre ses lèvres intimes, je sentais nettement la cyprine couler entre ses jambes ; j’avais vraiment la sensation d’être face à une source. Après avoir repris ses esprits, Coralie s’est mise à caresser la poitrine de sa collègue dont je broutais le minou, et je pense que cela a été l’élément déclencheur qui a provoqué la jouissance de ma belle et douce collègue. J’étais un peu gênée pour Élodie, car personne ne s’était occupé d’elle, elle n’avait fait que tenir la chandelle, mais manifestement ce soir, elle n’était pas demandeuse.
    
    — Bon, mes chéries, il va falloir que l’on se quitte, nous sommes bien restées une bonne heure au vestiaire. Je suis sûre que tu vas bien t’amuser avec nous.
    
    C’est sur ces mots que Coralie, qui prenait la parole facilement, nous a invitées à quitter la clinique pour que nous rentrions chacune chez nous. Bien évidemment, comme la fois dernière, il a fallu que j’aille me passer le visage de sous l’eau, car mine de rien, j’avais la nette sensation qu’il sentait très fort le minou. Comme la fois précédente, nous nous sommes embrassées toutes les quatre, les regards que nous échangions étaient très évocateurs, mais j’étais vraiment heureuse de ce que je venais de vivre. Pour marquer le coup, nous avons échangé nos culottes, il y avait un petit côté érotique qui me plaisait beaucoup. Nous avons pris l’escalier de service pour quitter la clinique afin de ne pas trop nous faire repérer, car je pense que cela aurait fait jaser que nous ...
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