1. Sous les blouses des collègues. (3)


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... quittions l’étage si tard. Mes trois collègues étaient habillées de façon très désirable, alors que j’avais la sensation d’avoir une tenue peut-être un peu coincée par rapport à elles.
    
    Mais en même temps, je pense que ces tenues étaient un peu à l’image des personnes, ceci dit, au rythme où je m’intégrais dans le groupe, il y avait de fortes chances à ce que je me mette à porter la même chose qu’elles.
    
    De nouveau, ce soir-là, j’ai préféré aller traîner un peu dans l’hypermarché voisin, histoire de me calmer un peu avant de rentrer à la maison. Comme d’habitude, j’ai fait mon rapport journalier à mes parents, ils avaient l’air très heureux que tout se passe bien à mon boulot.
    
    — Je voulais te poser la question ma chérie, les médecins n’ont pas de gestes trop déplacés avec vous les infirmières. Tu sais, je suis un peu inquiète pour toi par rapport à ça, car on en parle beaucoup dans les journaux.
    
    Ah ! Si ma mère savait ce qui se passe...
    
    — Ne t’inquiète pas maman, il n’y a que des infirmières et nous sommes très soudées, apparemment, les médecins sont obligés d’être corrects avec nous.
    
    J’étais contente de moi, car par mes propos, j’avais réussi à rassurer ma mère. Finalement, je suis partie dans ma chambre et ai foncé sous la douche, à vrai dire je ne me sentais pas sale, mais j’avais surtout peur que mes parents sentent une odeur de minou sur moi. Pendant la douche et surtout après, je n’ai pas cessé de penser à ce que je venais de vivre, j’étais vraiment ...
    ... heureuse dans ce groupe.
    
    Le lendemain, je suis arrivée au boulot et je me suis habillée comme on devait s’habiller à savoir nue sous ma blouse. Les collègues avaient l’air très heureuses que j’aie adopté leurs coutumes, c’est vrai que du coup, maintenant entre collègues, le moindre petit effleurement me faisait tremper l’entrejambe. Il fallait avoir l’œil, pour discerner ces petits gestes entre collègues, qui ne nous laissaient pas indifférentes. Les jours, les semaines sont passés. Je m’étais faite à ce train-train quotidien où l’on ne regarde pas trop l’heure et nous sommes absorbées par le boulot. Compte tenu du fait que nous n’avions pour ainsi dire que des patientes, j’avais toujours peur que l’une d’entre elles voie que j’étais nue sous ma blouse. Un jour, Christiane m’a convoquée dans son bureau, j’étais un peu étonnée, car cela commençait à faire pas mal de temps que j’étais embauchée et tous les papiers étaient remplis.
    
    — Bonjour Sophie, je constate avec grand plaisir que tu t’es formidablement bien intégrée dans l’équipe. Tu as découvert les petits secrets de tes collègues et il m’a semblé comprendre que cela ne te déplaisait pas.
    
    Voilà comment j’ai été accueillie par Christiane dans son bureau, elle ne pouvait pas être nue sous sa blouse, mais elle en avait quand même une. Par contre, je pouvais facilement discerner une magnifique robe en dessous, elle était fendue sur le côté. Elle m’a fait asseoir dans un fauteuil en cuir très confortable, face au bureau, ...
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