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Marie - Ange & Démon (5)
Datte: 22/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: FredM, Source: Xstory
... d’ailleurs elle n’attend pas car déjà elle commence à gober le gland. — Oui, comme ça. Plus ! Encore plus ! Mais la gamine reste figée dans une sucette de débutante. — Ah, t’es bien comme ta mère. Il faut tout te montrer. — Maman fait ça ? Questionne l’ingénue. — Bien sûr. Tiens je vais te montrer. Suce-moi. La gamine reprend le gland en bouche mais les mains de Georges la force maintenant à plus, beaucoup plus. Je retrouve la fellation de la semaine dernière mais cette fois ma caméra en garde une trace parfaite assemblant dans les "bit" de sa mémoire le son et l’image. Grognements. Gargouillis. Bouche déformée ; lèvres humides. Salive à gogo. Nul ne doute que le dénouement soit le même. Il va se répandre dans la gorge innocente. D’une innocence d’autant plus perverse que parfaitement simulée et qui doit exciter les deux partenaires. Mais Georges veut autre chose. Il lui enlève sa bitte de la bouche et se tourne, lui montrant son postérieur poilu. — Bouffe-moi le cul. — Monsieur non, c’est sale. — Je vais dire à ta mère que tu ne m’as pas obéi. — Mais maman ne voudrait pas que je... — Ta salope de mère adore me lécher le cul. Allez ! C’est étonnant de voir ce visage presque poupin avancer, les couettes en soulignant encore plus la jeunesse, et se pencher vers le cul poilu. La langue est tirée tel un dard explorateur. L’écolière ne proteste plus, entièrement concentrée sur son travail. La langue pointe et disparait dans la raie pour ...
... probablement faire sa feuille de rose, caresse particulièrement intime accompagnée par les mains qui palpent les couilles et astiquent la queue tendue. Je me régale. Oui autant pour moi que pour Fred qui va découvrir une Marie totalement inconnue de lui. Une Marie particulièrement perverse et vicieuse, ne pouvant même plus trouver l’excuse de la subordination a cet homme puisque c’est elle qui a proposé ce scénario et tout ce que cela implique. Je zoome. Le visage est soudé aux fesses velues, contraste saisissant et soulignant encore plus l’obscénité de la chose. Georges apprécie ce traitement. Il ne cesse de l’encourager par des : ""Bien... Pousse ta langue... Bouffe-moi les couilles... Branle-moi..."" Et puis, brutalement il se retourne. Le voici face à sa lécheuse. Sa main enveloppe sa bitte. Il se branle. Il s’astique de plus en plus vite et puis jouit. Son foutre jaillit tel un geyser horizontal, une fontaine à répétition. Il éclabousse le visage, le front, les cheveux, les lunettes mêlant ses coulures à celle de la salive. La gamine semble attirée par tant de puissance. Spontanément elle prend la queue en bouche pour en cueillir les dernières gouttes. Ils restent un moment ainsi. Sans bouger. Une ou deux minutes comme figés par tant de plaisir. La bite ne semble pas faillir. Il est vrai que les lèvres de salope sont un excellent remède à la débandade. Georges se relève. Il aide l’écolière à se relever aussi. Il la pousse devant lui. Il se dirige vers le lit ...