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Marie - Ange & Démon (5)
Datte: 22/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: FredM, Source: Xstory
... et puis il remarque la fenêtre ouverte et la pousse dans cette direction. Je ne pouvais demander mieux. La salope est invitée à s’appuyer contre la balustrade. La façon dont elle se penche, écartant les jambes pour laisser la place à son amant. Justement cet amant qui disparait derrière elle, agenouillé et préparant son offensive par de savants léchages. C’est probablement cela car l’ingénue gémit. Je n’ai plus le son, le téléphone est trop loin mais il me reste l’image et quelle image ! Le visage est un livre ouvert. Les zigzags de foutre dessinent des arabesques. La différence de support, front, lunettes, joues, cheveux apportent leur singularité. Des lunettes, gros verres laissent encore s’écouler des remugles. L’innocence a laissé la place à l’obscénité. La gamine vient de prendre dix ans. Les couettes ne font plus illusion. Ce n’est pas une écolière piégée par un vieux vicieux qui ferait ce mouvement de la langue. Une langue qui parcourt les lèvres cherchant et trouvant des traces infâmes, traces qu’elle entraine avec elle. Et puis Georges réapparait. En deux secondes il trouve sa place et je peux devenir à ses lèvres le "han" lorsqu’il la pénètre. Pendant de longues minutes l’homme la baise. Il est infatigable. Parfois il claque une fesse. Parfois il tord un sein. La caméra se concentre sur leurs deux visages. Ils sont synchrones et pas besoin de voir autre chose. On devine lorsqu’il l’enfile profond, une grimace sur son visage, une expression de surprise ...
... renouvelée sur celui de la chienne. Des yeux qui regardent plus bas. Je dé-zoome. Il guide sa queue. Elle se cambre un peu plus comme si c’était possible d’être plus accueillante et offerte. La bouche ouverte comme si le dard allait en ressortir. Et puis ces gémissements que j’entends malgré la vitre qui nous sépare. Ces ""Oui... Oui... Oui...""qui résonne dans la cour. Ils sont magnifiques. Ils respirent le sexe et la luxure. Mais que c’est beau ! Cet homme gras, velu, suffisamment âgé pour être le grand-père de celle qu’il baise. Il la baise de cette puissance affirmée que donne justement l’expérience, mais aussi de la façon dont il traite la femme. Femelle maintenant sans âges si ce n’est celui des grandes salopes et putains que le vice et la luxure habillent. Visage d’ange. Croupe de chienne. Elle est bien loin la collégienne ! Elle a jeté sa vertu aux orties. Et alors que l’homme l’encule, la retenant tout contre lui en tirant sur ces couettes qui ne sont plus que des artifices propices a une bonne prise. Il l’encule et j’entends le claquement des corps. Elle se caresse le clito accumulant les jouissances. Mais la jouissance arrive, de celle que l’on retient le plus longtemps possible pour en concentrer tous les sucs... *** — Si je te pose une question, une seule, est-ce que tu promets de me dire la vérité ? Marie qui git à côté de moi sur le lit saccagé et souillé de nos sucs m’interroge. Nous venons de baiser comme chaque soir. Ce soir je lui ai fait ...