Marie - Ange & Démon (5)
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... rien.
— Tourne-toi.
— Mais. Ca me gêne.
— Tourne-toi je te dis, sinon j’appelle ta mère.
— Non, non elle me gronderait.
Elle se tourne. Ses fesses blanches tranchent sur le tissu écossais de la jupe et les bas assortis.
— Penche-toi.
Elle hésite, parfaitement dans son rôle. Et puis elle se penche.
— Tu t’es fait épiler ?
Marie se redresse, boudeuse.
— Toutes mes copines le font, moi j’avais plein de poils et elles se moquaient. Et puis c’est très agréable.
— Ta mère le sait ?
— Euh, non. Si elle le savait elle me punirait. Elle me dirait que je suis une mauvaise fille.
— Approche.
Georges s’assied sur la chaise. Marie est assez près pour qu’il lui saisisse les poignets, l’attire, la pousse, la force à se pencher, la fait allonger sur ses genoux comme on allongeait un enfant, dans le temps, pour lui donner une fessée.
— Monsieur. Monsieur. Que faites... Ahhh
La main a claqué la fesse avec un bruit sonore. Une vraie claque, à peine retenue. Une autre... Une autre... Chacune est accompagnée d’un cri de l’écolière.
— Voilà ce que je fais aux filles qui n’obéissent pas. Tu es une méchante fille, je vais le dire à ta mère.
— Non, non, pitié.
De nouvelles claques. Ce traitement, manifestement, excite la gamine. Les fesses sont roses et la main de l’homme s’évade parfois vers des chairs dénudées et certainement déjà humides, de cette humidité que l’excitation procure.
Mais il cesse. Elle se relève. Elle rabaisse sa jupe ...
... comme le ferait une femme que le vent a soulevée. Oh Marylin !
Lui se lève. En deux mouvements il est nu. Nu, poilu, gros ventre, petite moustache, mais il a gardé ses chaussettes, chaussettes blanches qui le rendent un peu ridicule. Il se rassied. Sa verge pend sur ses couilles poilues.
— Suce-moi.
J’adore le regard apeuré de la comédienne.
— Monsieur ! Non ! Je ne peux pas ! On ne fait pas ça !
Elle proteste et pourtant elle a fait le pas qui la met à sa portée. Il l’attrape et d’une poigne de maitre la force à s’agenouiller.
Regard suppliant, bouche pincée de dégout, la Marie est parfaitement dans son rôle. Elle essaie de résister à la main qui lui saisit la tête, mais même si sa résistance n’était pas feinte, de toute façon, elle n’aurait pas pu résister. Elle cède. Son visage est très près. Lui se saisit de sa verge et en dirige le bout vers elle. Elle tend sa main et s’en saisit entre deux doigts précautionneux.
— Allez !
Dit impatient le boucher.
Elle pose ses lèvres sur le gland.
— C’est doux. Dit-elle, simulant la surprise.
— Ta langue. Insiste l’homme.
Le gland est une glace que la gamine lèche. Une glace mais aussi elle goute au cornet ne pouvant se retenir.
— Oh. Il est gros. C’est dur ! C’est normal ?
La bitte a évidemment réagi à ses léchouilles. Le "C’est normal" est une trouvaille. Décidément il faut peu à Marie pour retrouver sa première fois devant une queue tendue de désir.
Bien entendu Georges ne répond pas, ...