LES MAUX D'AMOUR - 1
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
Première fois
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... ma tête.
J'ai poussé ma langue dans son orifice et je l'ai secouée. Elle a tremblé et pantelé sous moi. Ses cuisses enserraient mon visage, chaque crispation étant plus puissante que la précédente, pressant mon cerveau jusqu'à ce que le monde s'assombrisse.
Quand je repris mes esprits, Max me tirait par les cheveux et me secouait douloureusement la tête.
Des soubresauts agitaient ses hanches et elle me regardait comme si j'avais gagné le marathon.
Son visage était rouge et la sueur perlait sur son front.
Souriante, elle me bousculait joyeusement dans une étrange manifestation de joie et d'affection.
J'essuyais mon visage et je réalisais que mon érection était revenue.
Max regarda l'horloge et sauta du lit: "Merde! Mon couvre-feu est dans dix minutes!"
Je n'en croyais pas mes oreilles: "Tu loges au couvent?" J'ai rigolé. Elle me lança un regard haineux en lissant sa jupe.
Pour la calmer, j'ai proposé de la raccompagner.
Nous nous sommes précipités à travers le campus pour aller au dortoir réservé aux filles sages. Également connu sous le nom de Couvent de Marie ou, plus grossièrement, la Chapelle des Vierges, c'est le seul dortoir à avoir un couvre-feu.
Le favori des parents protecteurs qui veulent soustraire leurs filles aux convoitises des jeunes mâles en rut, et plus généralement les protéger contre tous les maux de la vie d'université.
Nous sommes arrivés devant la porte d'entrée pile à l'heure selon la grande horloge de ...
... l'entrée.
Max déposa un léger baiser sur mes lèvres avant de disparaître à l'intérieur. Je marchais sur un nuage en rentrant chez moi.
J'avais oublié de noter son numéro et je ne connaissais pas son nom de famille. Je ne suis qu'un sombre crétin!
Toute la semaine, je me suis promené autour du couvent, dévisageant les filles que je croisais.
En allant ou en revenant de mes cours, ou simplement en me promenant lorsque j'avais un moment de libre.
J'espérais rencontrer Max, je ne pouvais pas me faire à l'idée de ne plus la revoir. Je n'étais pas amoureux, j'étais fou d'elle.
J'avais trouvé sa culotte pelotonnée sous mes draps de lit et je la trimbalais avec moi comme si j'étais le prince charmant dans une version perverse de Cendrillon. Pas une seule fois je ne l'ai aperçue.
Deux semaines plus tard, j'avais perdu tout espoir de la revoir.
Je révisais mes notes dans ma chambre lorsque j'ai entendu une voix: "Hep!" Sur le pas de ma porte, deux yeux verts brillaient.
Un jeans déchiré, un sweat-shirt trop large, une mèche de cheveux noir sur l'œil, elle me souriait: "Je dérange?"
"Non, pas du tout" dis-je en rangeant rapidement tout mon fatras. Elle vint s'assoir à côté de moi, au bord du lit.
"L'autre nuit ..." Elle marqua un temps d'arrêt en me jetant un regard froid et dur. "Tu n'en as parlé à personne, n'est-ce pas?"
J'ai juré que non. "Bien, ne le dis à personne, tu m'entends, à personne, sinon je te ferai du mal!"
"Je te le jure, je ne dirai rien, à ...