1. LES MAUX D'AMOUR - 1


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Première fois Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... satisfaite. "Je retourne dans ma chambre pour me masturber. Peut-être que cette fois, je vais arriver à rentrer tout mon poing à l'intérieur. À samedi soir."
    
    Avant que je puisse dire un mot, elle était partie. J'ai passé l'heure suivante à toucher sept fois tout les objets sur mon bureau pour assurer la sécurité de Max.
    
    En fin de semaine, j'étais une boule de nerfs et j'avais perdu l'appétit. L'anxiété d'aller dans une fête avec beaucoup de monde et de bruit, pour faire la connaissance d'une fille, la pression d'arriver à la séduire et lui faire perdre la tête, c'était trop pour moi.
    
    Samedi soir, Max m'a trouvé recroquevillé au fond de mon lit.
    
    Elle m'a caressé la tête et m'a parlé doucement, me persuadant de m'asseoir, puis de me lever et de l'accompagner à la soirée.
    
    Elle m'a tenu la main tout au long du chemin, je me cramponnais à elle comme un noyé saisit une bouée de sauvetage.
    
    Sous le porche de la maison, elle a lâché ma main, m'a souri et m'a dit: "Détends-toi. Ça va aller, maintenant."
    
    Il était encore relativement tôt et la fête n'était pas aussi animée que je le craignais.
    
    Max m'a présenté Amanda, une grande femme assez austère. Son chemisier blanc était boutonné jusqu'au col et sa jupe droite descendait sous les genoux. Elle était attrayante malgré l'air grave de son visage. Nous nous sommes serré la main, ce que j'ai trouvé étrangement formel dans les circonstances. Max s'excusa pour aller chercher un verre.
    
    Amanda et moi, nous nous ...
    ... sommes dévisagés un moment avant de nous détendre tous les deux.
    
    Je pouvais deviner la gêne sur son visage et je savais exactement ce qu'elle ressentait.
    
    Max m'a fait un signe depuis l'autre extrémité de la salle, m'incitant à emmener ma conquête vers un lieu plus propice.
    
    J'ai avalé péniblement ma salive et j'ai dit: "Eh bien, ceci est l'introduction la plus ratée que j'ai jamais faite."
    
    Amanda a souri brièvement et son visage s'est adouci.
    
    Je me suis penché vers elle et j'ai demandé: "Peut-être devrions-nous trouver un endroit tranquille pour parler."
    
    Amanda hocha la tête et m'entraîna dans son sillage, à travers la foule et dans l'escalier. Le deuxième étage était désert et elle a trouvé une salle de bain avec un verrou. Amanda s'appuya contre le lavabo, raide et digne. Je levais ma main droite pour qu'elle puisse la voir puis je la posais doucement sur sa hanche. Elle se crispa brièvement puis se détendit ensuite.
    
    "J'arrêterai quand tu le voudras. Dis-moi juste: assez" Elle acquiesça alors que je lui caressais la hanche sur sa jupe en tricot.
    
    Alors qu'elle s'habituait à mon contact, ma main descendit sur sa jambe jusqu'à son genou.
    
    Là, sur le devant de sa cuisse, j'ai ramassé sa jupe entre mes doigts et je l'ai soulevée lentement jusqu'à toucher sa peau.
    
    Je la dévisageais. Elle restait immobile, les yeux fermés, le souffle court, l'air vulnérable et délicate.
    
    Ma paume contre sa peau, d'un mouvement lent mais volontaire, je glissais ma main vers ...
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