1. LES MAUX D'AMOUR - 1


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Première fois Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... aléatoire.
    
    Max passait sans prévenir, je ne pouvais jamais prédire quand elle viendrait.
    
    Je pouvais la voir trois ou quatre soirs consécutifs, puis rester une semaine sans nouvelles avant qu’elle ne réapparaisse.
    
    Nos rencontres étaient brèves et concises, composées de sexe oral et de branlettes. Max décidait toujours pour tout.
    
    Un soir, elle est entrée dans ma chambre et elle a fermé la porte. J'allais lui parler, mais elle m'a fait un signe impérieux de la main.
    
    Ses cheveux arboraient une mèche violette sur le côté droit. Max déboutonna son imperméable et le laissa tomber au sol.
    
    Bien sûr, elle était nue en dessous. Ses poils pubiens avaient une traînée violette. Elle s'est agenouillée, cuisses écartées.
    
    Je regardais, hébété, sa main pénétrer sa chatte. Je pouvais entendre le barbotage de ses doigts s'agitant dans son sexe.
    
    Je pouvais voir sa chair luisante de cyprine quand elle séparait ses grandes lèvres. Je pouvais sentir son odeur.
    
    Elle pinçait et tirait sans pitié sur ses mamelons, les rendant rouges et gonflés. Pendant qu'elle s'est masturbée, elle ne m'a pas quitté des yeux. Dès qu'elle a joui, elle s'est rhabillée et elle est partie sans un mot.
    
    Sa visite suivante, elle m'a appris à lui faire plaisir, juste avec mes doigts.
    
    Je pensais que j'étais le gars le plus chanceux du campus. Max était une créature incroyablement sexuelle qui m'apprenait tellement. J'étais étonné du plaisir qu'elle pouvait me procurer avec ses mains et sa ...
    ... bouche.
    
    Plus important encore, elle voulait que je lui fasse plaisir avec ma bouche et mes doigts. Je me suis nourri de ses orgasmes.
    
    Je ne veux pas paraître ingrat mais je désirais plus. Même si j'avais très envie de faire l'amour avec elle, le sujet des rapports sexuels n'a jamais été abordé. J'ai supposé qu'elle ne l'avait jamais suggéré parce que c'était une sorte de ligne qui ne pouvait pas être franchie, si on baisait, je serais son petit ami, et elle ne pourrait pas avoir de petit ami. Je n'ai jamais abordé le sujet parce que je pensais que si nous avions des relations sexuelles, Max tomberait gravement malade et mourrait.
    
    Je sais, cela peut paraître fou, mais je ne peux pas empêcher ce genre de pensées de m'envahir. Une fois que j'ai ça en moi, cela m'obsède, et rend la peur palpable. Donc, pour protéger Max, nous ne pouvions pas avoir de relations sexuelles.
    
    Je n'ai jamais osé lui dire ça. J'aurais aimé, mais je n'ai pas pu.
    
    Un samedi soir, je travaillais dans le laboratoire informatique du campus.
    
    Une poignée d'étudiants étaient réunis dans le laboratoire, ce qui rendait la nuit plutôt calme.
    
    C’est ce que j’aime car je peux faire mes devoirs en étant payé.
    
    Max s'est approchée et s'est penchée sur le comptoir: "Tu travailles tard ce soir?" demanda-t-elle à voix basse.
    
    La mèche violette dans ses cheveux était maintenant d'un vert éclatant. Je me demandais si ses poils pubiens concordaient.
    
    "Jusqu'à 2 heures du matin. Désolé."
    
    Elle fronça les ...
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