Moi, Aline, une femme différente (7) - Histoires de Sexe

Moi, Aline, une femme différente (7)

... plusieurs reprises qu’elles avaient l’air d’apprécier le spectacle de nos corps se dénudant petit à petit. Parfois l’une ou l’autre, en passant pas loin de Gaëlle, semblait lui faire une caresses quand elle n’avait pas les yeux bandés. Je n’en étais pas certaine, devant guider Sui Wha ou ayant les yeux bandés. Le lendemain, la belle antillaise nous avouera qu’elle avait déjà couché avec les deux serveuses en question et qu’elles étaient mariées l’une à l’autre. Mais surtout, que c’étaient elles qui l’avaient initiée à ce jeu.

Mais revenons à notre repas, il était excellent, nous étions toutes nues à force de fou rires et maladresses diverses. Nous finîmes le repas en déposant les aliments sur le corps de autres et en allant le chercher avec la bouche. Chacune notre tour, nous désignions un aliment, sur qui elle devait aller le déposer, elle avait le choix de l’endroit, et qui irait le chercher. Ensuite, celle qui avait mangé désignait l’aliment suivant et ainsi de suite.

Nous nous léchâmes sous toutes les coutures. Les chattes étaient dégoulinantes, les seins durs comme de la pierre, ma queue droite comme un I et sensible au moindre effleurement.

Une fois notre repas, fini, nos serveuses se retirèrent sur la pointe des pieds et nous laissèrent nous amuser entre nous. Nous apprîmes par la suite, qu’elles avaient elles aussi passées une chaude nuit. Nous voir nous lécher, nous embrasser et nous caresser toutes les six les avait mises dans un état d’excitation ...

... fabuleux.

Nous finîmes toutes les six pèles mêles sur le lit. Après de multiples orgasmes pour mes amantes, un peu moins pour moi, le temps pour recharger étant différent, nous finîmes par nous endormir dans la positions où nous étions, les visages et les corps luisants de diverses sécrétions vaginales, buccales ou péniennes...

Au réveil, le soleil brillait haut dans le ciel. La chambre sentait l’amour... enfin, le stupre devrais-je dire, tellement nous avions répandu nos fluides partout dans le lit et sur nos corps. Je m’étirais paresseusement, effleurant un sein d’un côté et une fesse de l’autre, quand ma sangsue personnelle se fixa à ma queue regonflée et entama sa fellation matinale. Je ne pus résister à l’envie de la prendre en levrette au milieu de nos quatre amantes alanguies. Nous jouîmes rapidement, lâchant de cris de plaisir qui tirèrent nos hétaïres de leur sommeil. S’en suivit une nouvelle séance de léchages et pelotage en règle.

L’appel du ventre se faisant sentir, nous finîmes par aller nous laver et nous habiller pour aller déjeuner.

Malheureusement, c’était le jour où Gaëlle et Sui Wha devaient nous abandonner. En effet, leur vol décollant très tôt le lendemain matin, elles allaient rejoindre l’aéroport durant la nuit. Aussi, après le déjeuner, prirent-elles congés de nous, non sans la promesse de nous revoir et de refaire l’amour, toutes ensemble si possible. Mais surtout, Gaëlle souhaitait m’enculer, afin de découvrir pourquoi mes trois amantes lui ...