Moi, Aline, une femme différente (7) - Histoires de Sexe

Moi, Aline, une femme différente (7)

... celle de notre mariage, espérant que nous les ferions profiter de nos jeux d’enculages. Nous leur promîmes des séances inoubliables.

Nous passâmes l’après-midi à promener, chahuter, visiter la ville et papoter. Nous finîmes par revenir à l’hôtel peu avant le repas. Gaëlle nous proposa une nouvelle surprise. Elle nous fit remonter dans la suite nuptiale pendant qu’elle allait vers la réception. Un moment plus tard, nous nous étions déchaussées et toutes lavées les pieds, quand notre belle antillaise arriva. Elle ne voulut rien nous dire sur ce qu’elle avait préparé. Elle se contenta de faire comme nous, se déchausser, et aller se laver les pieds. Nous la pressions de questions sur ce qu’elle préparait, mais elle refusait toujours de répondre. Elle nous dit juste qu’elle avait préparé un petit jeu et que tout allait arriver. Elle nous demanda juste de ne pas nous déshabiller et de mettre des jolies chaussures. Elle resta énigmatique jusqu’au moment où la sonnette de la chambre retentit. Elle se leva, nous faisant signe de ne pas bouger, et alla ouvrir. Une cohorte de serveurs et serveuses rentrèrent, portant plusieurs plateaux ou poussant des chariots. Ils nous installèrent un repas dans la partie salle à manger de la suite, nappe, bougies sur la table, belles assiettes, couverts en argent, bref, le grand jeu.

Le ballet dura quelques minutes pendant lesquelles nous regardâmes tout ce monde œuvrer, puis tous se retirèrent sauf deux jeunes et magnifiques serveuses ...

... visiblement maoris.

À ce moment-là, Gaëlle nous invita à venir la rejoindre et prendre place à table. Elle nous expliqua alors son petit jeu. Nous allions devoir nourrir notre voisine, en ayant les yeux bandés et à l’aide de baguettes. Celle qui ferait tomber la nourriture devrait enlever un vêtement. À ce moment-là, celle qui avait enlevé son vêtement, enlevait son bandeau et le donnait à l’autre qui devait la nourrir à son tour. Et ainsi de suite, jusqu’à la fin du repas ou que nous finissions toutes nues. Celle qui guidait ne devait pas faire volontairement tomber la nourriture, sinon c’est elle qui perdait un vêtement et qui se retrouvait à nourrir l’autre. Pour déterminer les couples, une des serveuse sortit six bâtons. Ils avaient tous un côté blanc et de l’autre, il y avait deux bleu, deux rouge et deux jaune. Elle les prit en main, les mélangea et nous fit tirer chacune notre tour. Je tirai un bâton bleu, ainsi que Sui Wha. Carine et Stephi eurent les rouge, Gaëlle et Tania les jaunes. Ainsi furent formés les couples pour notre jeu. La serveuse sortit ensuite trois bandeaux de sa poche et en tendit un à chaque couple. Gaëlle, Carine et moi eûmes les yeux bandés et commençâmes à nourrir nos binômes. Ce fut un grand moment de franche rigolade et de plaisir. Assez rapidement, nous nous trouvâmes plus ou moins dénudées selon notre habileté à nourrir notre partenaire ou à garder notre sérieux tellement nous riions.

Nos serveuses étaient au petit soins, mais je remarquai à ...