1. voyage érotique (1)


    Datte: 20/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: vitalac, Source: Xstory

    ... Plaçant sa jambe entre celles de ma femme, il la força à écarter ses cuisses puis passa ses doigts entre ses fesses. Je le vis avec stupéfaction passer et repasser son majeur dans sa fente, descendant jusque dans la fente de sa vulve. Mon épouse, passive, respirait de plus en plus vite, ressentant ces doigts étrangers visiter son sexe, progresser dans son intimité, attendant inexorablement, sans pouvoir s’y soustraire. L’homme se pencha un peu plus sur elle.
    
    — Ecarte, laisse-moi passer, je dois te fouiller, c’est la règle. Ouvre-moi, si tu ne veux pas avoir mal.
    
    Ma femme plia légèrement les jambes, écartant les cuisses un peu plus, abdiquant complètement, s’offrant à la fouille.
    
    L’homme porta ses doigts à sa bouche, et deux doigts réunis se présentèrent à l’entrée.
    
    Il poussa et la pénétra lentement, profondément, jusqu’au fond.
    
    Mon épouse accusa cette première pénétration dans un râle de bête blessée. Elle releva la tête, les yeux grands ouverts, puis se laissa retomber sur la table, vaincue.
    
    Je n’en revenais pas de ce qui se passait sous mes yeux. J’étais partagé entre la haine et l’excitation. Je voyais ma femme, mon épouse, soumise, se faire peloter, pénétrée par les doigts d’un autre homme. Je voyais sa chatte, branlée par un autre. Car maintenant elle était carrément branlée. Il ne se contentait pas de la fouiller, il la limait sans vergogne, et sans se soucier de ma présence.
    
    Les doigts allaient et venaient, de plus en plus profond, de plus en ...
    ... plus vite. Un pouce, à présent, faisait rouler son clitoris complètement sorti de sa gaine. Lentement mais sûrement, l’homme l’amenait à se donner, malgré elle. Elle soufflait de plus en plus fort, s’agitait sur la table, ouvrait la bouche pour pousser des râles qui n’étaient pas de douleur. Je bandais maintenant fermement, complètement captivé par le spectacle de mon épouse.
    
    Il savait y faire, sans conteste, certainement expérimenté dans ce genre de situation. Il ne devait pas en être à son coup d’essai. Il la limait et la branlait de plus en plus vite. Ma femme s’était légèrement redressée pour laisser passer son autre main entre elle et la table. Il lui pelotait les seins, faisant rouler ses tétons durcis entre ses doigts. Mon épouse donnait maintenant des signes annonciateurs de son plaisir. Il le sentit et retira ses doigts du vagin trempé.
    
    Baissant son short, il se tourna vers moi, un sourire narquois, plutôt un rictus, au coin des lèvres, puis il se mit derrière ma femme, son énorme queue pointant entre ses fesses. Je n’avais jamais vu un sexe aussi gros, et ma femme non plus...
    
    — Il faut que je fouille plus profond, mes doigts ne sont pas assez grands ! Et ta femme et bien trop mouillée.
    
    Ma bien-aimée tentait tant bien que mal de reprendre ses esprits, son souffle était encore rapide et elle ne pouvait dégager son regard de ce sexe si imposant. Il avait presque le diamètre d’une canette de bière pour 25 bons centimètres.
    
    À ce moment-là, j’ai même eu ...
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