voyage érotique (1)
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: vitalac, Source: Xstory
... trois hommes, elle baissait les yeux.
— Tout !, il faut enlever tout
— Pardon ? Mais …
— À poil ! Tout de suite !
Je tremblais de rage, j’aurais bien étranglé ces trois pourris, mais je ne pouvais intervenir sans mettre notre vie en danger. Les salops ils font vraiment leur propre loi, Il vaut mieux faire profil bas.
L’homme porta la main sur elle avec la rapidité du serpent. Ma femme poussa un cri, mais ne put l’empêcher de se saisir de son soutien-gorge, juste entre les bonnets. Il tira un coup sec, les seins à l’air, mon épouse mit ses bras sur sa poitrine pour se cacher comme elle pouvait, ce qui le fit rire. Il lui intima l’ordre de retirer ses bras. Comme elle ne bougeait pas, il avança sa main et lui prit les poignets. Calmement, de manière étrangement douce, il lui écarta les bras. Troublée par le contact des doigts sur elle et par la soudaine douceur dont il faisait preuve, ma femme se laissa guider, mettant ses bras le long de son corps. Elle comprit aussi qu’il était inutile de résister, ils arriveraient de toute façon à leurs fins, il fallait mieux obtempérer.
L’homme se saisit de l’élastique du slip et tira légèrement à lui pour l’écarter, restant ainsi à se rincer l’œil sur la chatte de ma femme. Mon épouse ne désirant pas que son string subisse le sort de son soutien-gorge mit ses doigts de chaque côté et le fit glisser sur ses hanches. Quittant sa culotte en levant les jambes, elle apparut complètement à poil devant les trois hommes dont ...
... les yeux allaient de ses seins à sa chatte.
Le chef la regarda comme on regarde un gâteau, il en bavait presque.
— Maintenant, madame, tourne-toi, allez tourne !
Mon épouse obtempéra, présentant ses fesses sur lesquelles l’homme promena sa main, pelotant la chair sous ses doigts. Ma femme poussa un petit cri et se mit à trembler, mais se garda bien de se révolter. Quant à moi, je fus mis en joue et je compris que je ne devais pas bouger
L’homme passa sa main à plat dans l’entrecuisse de mon épouse
— je vais devoir te fouiller, partout, partout
— je vous en prie, je vous jure, nous n’avons rien sur nous
— Tu restes bien sage et tu ne bouges pas. Sinon je dis aux hommes de t’attacher ...Compris ?
— Oui, oui. D’accord.
— madame reste bien sage
— Oui, bien sage.
Il plaça mon épouse devant la table et la fit courber en avant. Les seins écrasés sur la table, fesses tendues en l’air, elle était excitante dans cette position et les trois hommes affichaient une énorme bosse au niveau de leur short. Malgré le contexte, malgré l’écœurement et la peur, je me mis également à être étrangement excité de la voir ainsi soumise, à poil devant ces hommes. En imaginant ce qui allait se passer sous mes yeux, je sentis mon sexe durcir. J’avais honte, mais je n’y pouvais rien.
Le chef posa à nouveau sa main sur le dos, puis sur les fesses de mon épouse. Je vis nettement des frissons la parcourir. Ma femme n’avait jamais été touchée par aucun autre homme que moi. ...