voyage érotique (1)
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: vitalac, Source: Xstory
... l’impression que mon épouse avait accentué l’ouverture de ses jambes pour s’offrir plus facilement, elle semblait attendre avec impatience la pénétration...
L’homme me regarda une dernière fois pointa son sexe à l’entrée de celui de ma femme et poussa…poussa…, il poussa encore plus fort, et l’énorme gland pénétra ma femme, celle-ci me regardait comme affolée les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte. Elle lança un AHH !! Qui en disait long portant… et se reprit :
— Oh mon dieu, arrêtez c’est trop gros vous allez me faire mal…
Pourtant l’homme n’avait entré que son gland, je voyais encore toute sa longueur, fier de son œuvre, fier d’avoir dompté cette femelle blanche…
— Ta gueule ! Pas la peine de faire la Sainte je sais pas quoi, comme vous dites. T’en meurs d’envie, ta chatte, elle, coule toute seule. Tu vas voir, tu vas gueuler de plaisir. Tu ne t’es jamais fait ramoner comme ça.
Ma femme ne répondit même pas…
Maintenant il s’amusait à entrer et ressortir son gland de la chatte de ma femme, il entrait et sortait de plus en plus vite, mais juste son gland.
Mon épouse commença à ressentir dans son corps le résultat inéluctable de cette baise imposée elle ne pouvait résister d’avantage à ce supplice …
Oh … Non … arrêtez ! C’est trop dur …finissons-en ... enfonce-toi !!!
Je n’en revenais pas, nous avions tous entendu, enfonce-toi !!! Mon épouse demandait à son bourreau de la finir.
En vainqueur, il me regarda :
— Alors petit blanc, tu ...
... vois, c’est ta femelle qui souhaite que je la baise, alors regarde un peu ce qu’elle va prendre.
Il s’agrippa à ses hanches plus fort, plantant ses doigts dans la chair tendre, et poussa violemment, pénétrant le ventre de ma femme jusqu’à la garde. Ses couilles vinrent taper contre ses fesses. Elle poussa un hurlement, au cri de mon épouse défoncée de la sorte, j’ai failli éjaculer. Je n’en revenais pas de ce qu’elle prenait.
Jamais, même dans mes fantasmes les plus fous, je n’aurais cru voir un jour ma bien-aimée, se faire enfiler de la sorte par un autre homme.
Je voyais ses yeux s’ouvrir et se fermer à chaque coup de boutoir. La queue gigantesque s’enfonçait dans son ventre et ressortait, luisante et humide de ses sécrétions, la faisant chavirer. Sa tête roulait maintenant de gauche à droite. Puis vint ce qu’elle essayait de refouler. Son corps se tendit. Elle me regarda et poussa un feulement qui me donna des frissons.
— haaannnnn ! aaaaaaahhhh !!!!! noooooonnnnn !!! Chéri au, nooooonnnn!!! Je jouie
— vas-y ma poulette blanche, jouis !
Je la vis s’arc-bouter sur la table, bouche ouverte, yeux dans le vide. Elle poussa un grand râle qui me donna des frissons et fit trembler mon sexe durci à me faire mal, puis elle retomba à plat ventre, terrassée par la violence d’une jouissance que je n’aurais pu imaginer.
L’homme continua à la limer en profondeur.
Au bout de quelques minutes, alors que ma femme recommençait à donner de la voix, en faisant à nouveau ...