1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (2/20)


    Datte: 20/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... est restée avec le parchemin à l’hôtel, mais j’ai toujours "le feu au cul".
    
    Je trouve le briquet qui est rangé depuis des années quand je fumais, l’homme, la trentaine, me tend son paquet, j’en prends une.
    
    Il me prend le briquet pour galamment allumer nos cigarettes, mon regard croise son regard.
    
    • Mon hôtel est à deux pas, voulez-vous me suive !
    
    Je suis restée dix minutes assises sur ce tabouret, comme un zombi.
    
    J'en descends, montrant à ce beau blond, mon intimité, prenant conscience que je n’ai pas mis de culotte.
    
    Il me prend par le bras, me touchant le sein qui s’embrasse comme hier avec Martine.
    
    Nous montons vers les étages de notre hôtel, c’est le même, est-ce le fait du hasard ou la volonté de ma boîte et de mon parchemin ?
    
    Dans l’ascenseur, il me plaque contre la paroi et me prend la bouche fougueusement. Mes bras s’entourent autour de son cou.
    
    Dès que nous sortons, il me porte littéralement vers sa chambre, nous sommes au deuxième, la mienne est au troisième.
    
    La porte franchie, il me pousse sur le lit, je tombe à genoux.
    
    Mes seins qu'il a dénudés pendent devant moi, je sens ma jupe se relever et une verge chercher son passage qu’elle trouve sans aucun problème tellement, je ...
    ... mouille.
    
    Rapidement, il me donne des grands coups de bite, tellement rapidement que les occupants des chambres voisines doivent m’entendre hurler quand j’ai l’orgasme le plus fort ressenti de toute ma vie.
    
    Il quitte mon sexe, sans avoir déchargé, il me met sa bite dans la bouche, me tenant derrière ma tête et se masturbe littéralement jusqu’à éjaculer.
    
    Je sens pour la première fois du sperme couler dans ma gorge.
    
    Il n’en a pas fini, il doit sentir la chaudasse que je suis, car quelques minutes après, nous sommes sur le lit, ma soif de sexe est presque rassasiée, pourtant il me prend dans la position du missionnaire me donnant de tout petits coups avant de nouveau se déchaîner, me faisant hurler de plaisir.
    
    Il est minuit quand je retrouve ma chambre, m’étant éclipsée profitant du sommeil de ce que je peux appeler mon amant, j’ignore son nom comme il ignore le mien, nous n’étions qu’un vagin et une bite, une chatte et un vit s’étant retrouvés pour nous donner du bon temps.
    
    Ma minette est rassasiée, elle ne me brûle plus quand j’entre dans ma chambre.
    
    Là où je l’ai posé, le parchemin est rentré et la boîte, s’est fermée seule, comme hier, ou va-t-elle me conduire, je me sens de plus en plus à sa merci, mais j’aime ça…
    
    Merci à Anne. 
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