1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (2/20)


    Datte: 20/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Venue à Chazal dans le Doubs, village où je venais dans ma jeunesse de Dijon où nous habitions avec mes parents chez ma grand-mère, hélas décédée, j’achète une boîte en cuir dont je ne comprends pas à quoi elle peut servir.
    
    Afin de tromper la vendeuse de la brocante annuelle du village, c’est la soupière avec la vaisselle dépareillée qui m’intéresse.
    
    C’est ma méthode pour acheter peu cher l’objet que je convoite, en endormant le vendeur, qui plus est quand c’est une vendeuse.
    
    Ça marche, mais la vendeuse Martine reconnaît en moi la fillette avec qui elle a joué dans notre adolescence.
    
    Le soir, elle m’invite à dormir, je cherche à ouvrir la boîte qui reste hermétiquement clause, elle m’échappe, quand je la ramasse sur la carpette, elle est ouverte, me montrant un parchemin qui embrasse mes sens en même temps que ceux de mon amie d’enfance, quand je le saisis entre mon pouce et mon index.
    
    C’est devant le frigo que, nous retrouvant nues toutes les deux, que nous commençons une relation lesbienne.
    
    Elle me caresse la poitrine, je lui rends ses caresses, ma chatte est de nouveau en ébullition, bien que je me sois masturbée, quel étrange pouvoir a donc ce parchemin pour déclencher en nous cette envie irrésistible de baiser ?
    
    Martine m’entraîne vers sa chambre, nous tombons sur son lit, plus prompte, je me laisse glisser jusqu’à son intimité qui dégouline comme la mienne.
    
    En même temps que je lui caresse, pardon, que je lui arrache un sein, ma langue vient ...
    ... récupérer les sécrétions qui coulent de son corps lui aussi en fusion.
    
    Heureusement que sa maison est au bout du village, les cris qu'elle émet réveilleraient toute la population dévoilant que c’est une gouine suceuse de chatte.
    
    Il faut se méfier car les bruits courent si vite dans ces petits villages.
    
    Le voisin ne nous a-t-il pas vus entrer hier au soir quand il fumait sa cigarette sur sa terrasse !
    
    • À toi, mets-toi comme moi, j’ai envie de ta chatte à mon tour.
    
    La folie doit s’être emparée de moi, je prends la position, j’ignore si elle l’a déjà fait et je me garde bien de le lui demander, elle me soulève les jambes, sa langue va de mon clitoris à ma rosette.
    
    Elle lève la tête.
    
    • J’adore faire des feuilles de rose, j’en faisais à Jean-Marie, mais c’est sa verge que j’avais en bouche, j’aime bien sucer ton clitoris, ça change.
    
    Elle retourne à sa tâche, c’est la première fois qu’une tierce personne touche à mon trou du cul.
    
    Avec Benoît, il a essayé, mais n’étant pas prête à ce jeu-là, un peu pervers, je ne lui ai pas permis.
    
    Aujourd’hui avec le feu que j’ai au cul, une petite sodomie augmenterait mon plaisir. Grâce à mon parchemin, deviendrais-je une vraie salope, moi femme de médecin ne l’ayant jamais trompée ?
    
    Il est plus de midi quand je sens Martine bouger, elle cherche à quitter le lit sans me réveiller.
    
    • Où vas-tu chérie, je n’en ai pas fini avec toi.
    
    Je prononce ces mots, mais dans mon cerveau, tout ce qui s’est passé depuis que je ...
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