1. Les bonheurs de Sophie(2)


    Datte: 19/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Modianorouge, Source: Hds

    ... au début, elle se révèlera paradisiaque.
    
    - Monsieur !!!
    
    - Dix coups de cravache ! Je ne fléchirai pas. C’est toi qui plieras. Et tu le sais ! Tu progresseras ainsi en surmontant d’autant plus facilement les épreuves que la douleur minime cèdera vite la place à l’extase. Je t’aiderai, je t’accompagnerai. Allez enlève ta jupe… Allez Sophie ! Allez ! Voilà, comme ça, c’est bien… »
    
    Précipitamment, comme on se jette du haut d’une falaise, elle a baissé sa jupe, ses mouvements sont brusques et terriblement maladroits, en voulant faire vite, elle s’emberlificote les jambes, elle tire, mais, ne veut pas trop lever la patte, danse sur un pied, chancelle, se retient de justesse à une chaise, et se libère enfin du vêtement qui choit à son tour sur le sol.
    
    La voici dans la splendeur de ses 18 ans, le port altier mais dépossédé de toute assurance, tel un I frémissant qui risque constamment de ployer ; les bras tendus devant le torse, serrés pour dissimuler ses tétons, elle a joint les mains en protection devant sa culotte blanche ; les jambes jointes, l’amplitude corporelle ainsi réduite au minimum, elle cherche à offrir le moins de prise possible au regard.
    
    Mais Phil n’en apprécie pas moins la perfection des proportions : la ligne du cou s’alanguit sur celle des épaules, mais sans aucune nonchalance, au contraire, subtiles et raffinées, elle l’épouse avec une incroyable dignité ; malgré une petite taille, les jambes sont élancées et les cuisses galbées gainées dans les ...
    ... collants, elle remporterait aisément le concours de la femelle la mieux racée ; quant au bassin d’une étroitesse de jeune fille, il s’évase pourtant, sans l’ombre d’un doute, vers une forme de féminité accomplie.
    
    « Autant d’histoires pour si peu ?
    
    - Je… »
    
    Il s’approche lentement. Elle recule à mesure, mais est vite acculée contre le mur. Il feint d’ignorer ces manifestations de crainte, et, après avoir posé la cravache sur la table - juste à côté du vibromasseur - leur oppose une voix chaleureuse, réconfortante, encourageante.
    
    « Et bien ! Ce fut laborieux. Tu vois ce n’est pas si terrible que ça. Tu vas vite t’habituer.
    
    - Que voulez-vous de moi ?
    
    - Dans l’immédiat, un café.
    
    - Quoi ?
    
    - Sers-moi un café. Obéis sans te poser de question. Je vais te montrer où est la cuisine. Avance. »
    
    Elle n’est pas aussi prompte qu’elle le devrait. Mais elle s’exécute. Et Phil déguste du regard l’adorable petit cul, musclé et haut perché, qui trottine gentiment vers la cuisine. Le contraste aphrodisiaque entre la cambrure profonde et la courbe inversée d’une croupe rondement potelée est du meilleur effet. Les collants noirs s’arrêtent en haut des cuisses comme pour sublimer encore l’érogénéité du postérieur. Ça donne un petit côté pute-vierge du meilleur effet. Il s’assoit à la table de la cuisine et observe le petit cul vaquer. Même si sa culotte en coton est d’une sobriété exemplaire, même si Sophie retient pudiquement ses gestes, chaque mouvement l’assigne à la ...
«1234...»