1. Les bonheurs de Sophie(2)


    Datte: 19/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Modianorouge, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    La mise à nue
    
    Phil est un bon cavalier. Il s’adonne à sa passion à raison d’une ou deux fois par semaine. Sa tenue est toujours prête dans la penderie de l’entrée. Pour l’heure, il n’a nullement besoin de toute la panoplie. Moins d’une minute lui est nécessaire. Et il revient dans le salon en faisant claquer contre sa jambe la lanière de cuir de sa cravache. Il a l’habitude de manier la badine au manche en bois souple. Il aime la faire siffler.
    
    Sophie a compris, a pâli.
    
    « Monsieur…
    
    - Saches que d’ores et déjà tu as mérité deux coups de cravaches ; un sur chaque sein ! Je ne fléchirai pas.
    
    - Monsieur…. Non…
    
    - Alors enlève ce pull ».
    
    Elle tente encore de négocier :
    
    - Mais pourquoi ? Monsieur, pourquoi ? S’il vous plait !!!
    
    - Parce que je l’exige. Ce que je veux, tu le veux. C’est, plus que ton intérêt, la seule condition de ton épanouissement. Tu le comprendras bientôt. Tu me remercieras. Mais tu as d’abord besoin d’apprendre. Tu en veux plus ? Quatre coups de cravache.
    
    - Monsieur !!!!
    
    - Je te jure que bientôt tu me remercieras ».
    
    Elle esquisse le geste, commence à soulever son pull, s’interrompt encore. Il parle avec assurance et calme, sans aucune agressivité. Son intention n’est pas d’instaurer de la peur mais de la confiance.
    
    « Ce que je te demande est tellement dérisoire ! Tu ne veux pas que je te sauve ?
    
    - Ôh si Monsieur ! Mais… Je…
    
    - Et tu penses que ta libération peut ...
    ... advenir sans effort ? Sans abnégation ? Enlever ton pull est un acte tellement anodin. Tu me déçois Sophie. Tu veux que je te renvoie, que je t’abandonne, que je te laisse croupir dans ton enfer ?
    
    - Non Monsieur. Je…
    
    - C’est toi seule qui t’inflige cette épreuve. Six coups de cravache… »
    
    Vaincue, les mains tremblotantes, elle soulève et fait passer son pull par-dessus sa tête, le vêtement dévoile son ventre, son torse, puis, inutile, il choit sur le sol, lâché à contre cœur par les doigts fins de la beauté. La gêne rend le tableau encore plus admirable. La largeur des épaules s’aligne sur celle des hanches, l’équation de la fragilité est ainsi parfaitement respectée. La taille fine, le ventre plat et les deux collines enserrées dans le soutien-gorge blanc parachève l’hommage à la féminité. La peau naturellement dorée évoque un caramel très doux, onctueux nappage d’une hérédité italienne, une recette d’autant plus savoureuse qu’elle est servie sur un visage mijoté aux yeux d’ambre et épicée d’une abondante chevelure brune. La divine vierge croise les bras en protection sur sa poitrine et, les yeux baissés, redoute la suite de la sentence.
    
    « Tout ça pour ça ! Allez, Sophie, la suite ! Le soutien-gorge ! Dépêche-toi !
    
    - Nonn, je ne peux pas plus !
    
    - Tu ne peux pas plus que trois fois rien ?
    
    - Ôh Monsieur !!
    
    - Tel est ton état actuel d’insignifiance. Je vais t’aider à atteindre progressivement l’absolu. Les premiers pas sont les plus difficiles. Huit coups ...
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