1. Lisa et les templiers de Los Angeles : Chapitres 1 à 3


    Datte: 19/09/2018, Catégories: f, fh, hplusag, extracon, médical, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, hdomine, Masturbation intermast, pénétratio, fdanus, occasion, Auteur: Datchka Lavani, Source: Revebebe

    ... flamboyant » : il affirmait haut et fort, la primauté de l’homme sur la femme, en qui il ne voyait qu’un être de seconde zone, essentiellement destiné au bon plaisir du mâle, aux tâches subalternes, aux corvées ménagères, à la conception et à l’éducation des enfants.
    
    Pour lui, la femme ne devrait pas travailler. Son idéal était la femme au foyer mais il était forcé de reconnaître qu’elles étaient utiles dans certains emplois comme celui de secrétaire, par exemple.
    
    Bill Konsbrück était fort bel homme avec beaucoup de prestance. Bien que marié, il additionnait, comme le Don Juan de Mozart, les aventures féminines, vécues comme de simples défoulements sexuels sans grand lendemain.
    
    Le« Chapitre des Templiers de Los Angeles » qu’il avait créé, avec son ami Pat O’Sullivan, menait en fait une croisade contre toutes les avancées féministes de la société moderne.
    
    L’idéal et l’objectif qu’ils s’étaient donnés n’étaient pas franchement dans l’air du temps. Cette idée, terriblement ringarde, imposait aux membres de l’association de rester secrets. On entrait au Chapitre par cooptation et après initiation, dans une association qui regroupait quelques membres influents de la société californienne. Leurs rituels ne dédaignent pas le recours aux pratiques sexuelles. Bien au contraire, la gaudriole était la base de leur rituel.
    
    Le Dr Patrick D. O’Sullivan était un éminent gynécologue de Los Angeles, probablement le plus couru de la ville. Il se limitait à la pratique de la ...
    ... gynécologie médicale et à celle de l’obstétrique. Pour tout ce qui était chirurgical, il s’adressait à son excellent ami, le Dr Bill Konsbrück.
    
    Pat, c’était son surnom, avait un profond mépris pour les femmes qui n’étaient pour lui qu’un objet de travail et d’études.
    
    Elles étaient aussi l’instrument incontournable du plaisir sexuel. Elles devaient donc être absolument parfaites de ce niveau, et c’était son rôle de médecin gynécologue de contribuer à cette perfection.
    
    Il devait probablement les haïr un peu, car son succès spontané auprès d’elles restait très limité et plus motivé par sa position et son argent que par un charme viril qu’il ne possédait pas.
    
    Bill et lui avaient créé ce« Chapitre Templier » dont Pat était devenu le Grand Sénéchal, de fait, le second dans la hiérarchie de l’Ordre. Il était donc normal que Bill lui fasse part de la situation par téléphone.
    
    Avant même de commencer ses consultations, il prit le temps de l’appeler et lui fit un résumé assez détaillé de la situation. L’un et l’autre étaient fort ennuyés des conclusions de l’oratrice.
    
    — Cela risque de nuire à notre recrutement, au moins pendant un certain temps, conclut Pat après une courte pause, mais dis-moi, comment s’appelle cette « poule » ?
    — Tu veux dire, la conférencière ? demanda Bill.
    — Oui !
    — Lisa Sorrenti, pourquoi ?
    — Je pense que je la connais, attend une minute…
    
    Le docteur Pat O’Sullivan entreprit de compulser ses fiches de consultation et se mit à jubiler.
    
    — ...
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