Lisa et les templiers de Los Angeles : Chapitres 1 à 3
Datte: 19/09/2018,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
extracon,
médical,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
Masturbation
intermast,
pénétratio,
fdanus,
occasion,
Auteur: Datchka Lavani, Source: Revebebe
... Cette Lisa Sorrenti est une de mes patientes. Célibataire mais fort jolie, énormément de caractère, elle me semble décidée et tenace ; bien qu’encore fort jeune – selon mes fiches, elle devrait avoir 35 ans – elle est occupée de se tailler une place dans le cénacle des archéologues. Une bonne femme comme ça aurait dû naître avec des couilles ! Cette fille est dangereuse. Elle est capable de tout.
— Que peut-on faire ? demanda Bill, on ne peut pas la tuer ?
— Toujours selon mes fiches, expliqua Pat, elle devrait bientôt venir à ma consultation, elle se fait suivre très régulièrement, tous les six mois, pour un contrôle normal de sa contraception. Fais-moi confiance ! Je pense que j’ai une petite idée.
Sur ce, ils se quittèrent.
Bill un peu rasséréné, put entamer sa consultation, plus détendu. Monica en entrant, constata immédiatement la différence et s’en trouva rassurée, elle aussi. Elle ne put toutefois s’empêcher de lui annoncer que Danuta Cruz avait pris rendez-vous.
— De grâce, Monica, essayez de la décommander. Expliquez-lui que j’ai pris du retard à cause d’une opération beaucoup plus longue et difficile que prévue et que je ne pourrai pas lui consacrer tout le temps dont elle a besoin.
— Bien docteur ! Je vais essayer.
Danuta Cruz, tout comme Lisa Sorrenti, était le modèle de femme tout à fait insupportable pour Bill : elle était belle, riche, intelligente, fière et libre, sans complexe, et surtout pas soumise. Elle consommait les hommes comme Bill ...
... séduisait les femmes.
Toutefois, autant le Docteur Konsbrück multipliait les relations suivies, généralement de courte durée, autant Danuta utilisait en général, le principe de « l’usage unique » : elle choisissait sa victime avec soin – pas n’importe qui – la séduisait, l’emportait, s’en servait une fois, et la jetait ensuite, comme un vulgaire Kleenex usagé. C’était à la fois une vraie salope et une sorte de mante religieuse.
Bill la connaissait sans plus, car il était difficile à Los Angeles de ne pas connaître Mademoiselle Cruz. Leur première rencontre remontait à quelques semaines. Ce fut au cours d’une réception pré-électorale organisée par le gouverneur de Californie.
Il est toujours un moment où, dans ces réunions, on n’échappe pas aux discours. Le cocktail et le buffet se déroulaient dans une gigantesque salle ornée de colonnes. L’une d’elle, accolée au mur du fond, formait ainsi une sorte de niche, où le hasard voulut que Bill se trouvât. Au moment où les orateurs commencèrent à parler pour encenser le gouverneur, tout le monde se tourna vers eux.
Danuta se trouvait juste devant Bill, quasiment collée contre lui, le cachant du reste du public. Il était coincé, quasiment prisonnier dans ce recoin. Sans que son visage ne la trahisse en rien, avec sa main discrètement glissée derrière le dos, elle entreprit de lui caresser le sexe à travers le pantalon.
Bill était bel et bien coincé : il ne pouvait bouger car il y a trop de monde autour de lui, sa main droite ...