Lisa et les templiers de Los Angeles : Chapitres 1 à 3
Datte: 19/09/2018,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
extracon,
médical,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
Masturbation
intermast,
pénétratio,
fdanus,
occasion,
Auteur: Datchka Lavani, Source: Revebebe
... fut un peu douloureuse mais elle aimait ce va-et-vient brutal et régulier qui ramonait en elle. À chaque coup de boutoir, elle sentait le pubis de Bill qui la heurtait et les couilles qui rebondissaient contre son cul. Cela contribuait à la montée de son plaisir et les gémissements de douleur initiaux furent rapidement remplacés par ceux du plaisir.
Dans la position où elle était, les genoux relevés à angle droit, le bassin était légèrement basculé. À chaque aller-retour, elle percevait bien le gland contre la paroi antérieure de son vagin. Ce frottement sur son point G lui procurait une sensation délicieusement excitante. Comme il la baisait toujours sans préservatif, elle sentit bien quand il éjacula violemment. Cela suffisait à son plaisir et pendant qu’il jouissait égoïstement de son orgasme, elle sentit monter le sien. Ce fut bon quand même.
Cela faisait maintenant dix ans que Monica Sweart était la secrétaire du docteur Bill Konsbrück. Monica était une authentique secrétaire modèle : elle était plutôt jolie, s’habillait avec une recherche discrète, sa voix avait un timbre à la fois sensuel et rassurant, ce qui, au téléphone avec les patients, était un atout majeur.
D’un point de vue professionnel, elle était rompue à toutes les techniques de la bureautique moderne, elle se servait avec aisance des programmes de traitement de texte, des tableurs. PowerPoint n’avait aucun mystère pour elle, ce qui donnait à Bill beaucoup d’avantages dans la préparation de ses ...
... communications scientifiques. Chose rare à notre époque, elle connaissait encore parfaitement la sténographie.
Bien qu’elle soit mariée, elle ne comptait pas ses heures. Le docteur Konsbrück avait une réputation de bon chirurgien, ce qui conférait à Monica une réelle fierté et lui donnait envie de satisfaire, toujours plus, son patron. Elle contribuait à sa manière, à la bonne image de son employeur.
Environ un an après son entrée en service, elle lui montra jusqu’à quel point, elle pouvait pousser son dévouement, combien elle était une perle rare. La qualité du travail de Monica, sa compréhension des choses, son intuition, sa discrétion, avaient créé un lien de complicité entre elle et son chirurgien. Ceci est assez fréquent lorsqu’il existe une bonne entente entre un patron et sa secrétaire personnelle. De ce fait, elle finit par être dans la confidence de choses intimes.
C’était en été, au retour des vacances. Cette après-midi là, Bill arriva au bureau. En entrant, il soupira :
— Ah ! Mademoiselle Sweart (bien qu’elle soit mariée, Bill l’appelait toujours Mademoiselle), je me sens nerveux, tendu comme pas possible. J’aurais bien besoin de tirer un bon coup. Il n’y a vraiment que ça pour que je sois au top, affronter le reste de la journée et terminer mes consultations.
Selon sa théorie, Bill avait coutume de dire qu’un bon orgasme libérait son trop plein d’énergie, apaisait ses tensions nerveuses et lui permettait ainsi de mieux se concentrer. En matière de ...