Soins intensifs - Histoires de Sexe

Soins intensifs

... saisit de ses doigts habiles. Les bruits de succions furent bientôt couverts par les soupirs déclenchés par la pipe magistrale qu’elle m’administrait et la branlette intense qu’elle prodiguait à notre ami. Tout en disant :

— pas de jaloux, elle m’abandonna pour administrer à Jean-Pierre le traitement qu’elle me faisait subir. Sa main remplaça immédiatement le délicieux fourreau et notre ami laissa échapper un « oooh » qui devait signifier que la bouche d’Isa ne le laissait pas de marbre. En fait son engin, lui, devait l’être car Isa, en reprenant sa respiration lâcha :
— Oh, qu’il est gros !

Je ne distinguais que le mouvement de va-et-vient de la tête d’Isa et je m’imaginais sa bouche distendue par un énorme engin. J’avais lancé mes mains à la rencontre de ses seins que je caressai et dont je fis rouler les tétons entre mes doigts. Mais la position était peu confortable et je suggérai de rejoindre le litking-size qui me paraissait tout à fait adapté à la situation.

— Mais c’est juste un tout petit pansement, et c’est choux de ne pas voir de poil dans ce coin.

Il ne fut pas question de retenir la main d’Isa qui, joignant le geste à la parole, étendit immédiatement le bras pour toucher le petit bout d’aine et de ventre qu’avait laissé apercevoir Jean-Pierre en baissant furtivement son pantalon de pyjama. Malgré la rapidité du geste de notre ami pour remonter le pantalon, la main baladeuse était déjà sous le tissu et se trouvait de fait emprisonnée par la ...

... maladroite tentative de l’écarter.

— Houa ! mais c’est tout doux partout, c’est vraiment un travail de pro !

Dans son élan en avant, Isa avait posé les pieds par terre et son cul s’était soulevé. J’avais promptement accompagné le mouvement, ce qui fait que j’avais pu glisser profondément mon index et mon majeur dans son vagin et que mon pouce était au seuil de son anus que je sentais palpiter.

— Ta queue a l’air de bien fonctionner, elle apprécie les caresses et elle durcit vite. Tu sais que l’autre salaud a ses doigts dans ma petite chatte et me fait du bien. Ça me rappelle notre première nuit tous les trois.

C’est vrai que cette fois-là, après avoir rejoint le lit et pendant qu’Isa reprenait en bouche le gros vit de notre ami, je me glissai derrière elle et lui enfournai deux doigts qui n’eurent aucune peine à rentrer dans son con tout inondé. À genoux sur le lit, le cul levé, elle était une proie facile qui ne demandait qu’à subir le maximum d’outrages. J’avais toujours eu un peu de mal à localiser son clitoris mais cette fois, mon doigt tomba littéralement dessus. La position, la situation, le mettait en évidence et je m’attachai à le caresser tout en introduisant deux doigts de mon autre main dans sa chatte poisseuse. Gémir la bouche pleine n’était pas un obstacle pour Isa et la chambre fut bientôt la caisse de résonance de son plaisir jusqu’à un raidissement brutal qui expulsa mes doigts fureteurs et un long cri qui ne laissait aucun doute sur le premier orgasme ...