1. Soins intensifs


    Datte: 19/09/2018, Catégories: fh, fhh, frousses, extracon, hotel, intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, totalsexe, Auteur: Bergamasque, Source: Revebebe

    ... buccale. J’en profitai pour dégrafer sa jupe qui se trouva rapidement par terre tandis que mon acolyte défaisait fébrilement les boutons du léger chemisier. Elle apparut en mini soutien-gorge noir à balconnet. Ma main se glissa sous le minuscule string et trouva immédiatement sa place, mon index titillant l’entrée d’un vagin déjà moite de désir.
    
    Jean-Pierre avait de son côté dégagé les seins des balconnets et suçait l’un en caressant l’autre. Cambrée, la tête renversée sur mon épaule, Isa commença à ronronner sous nos caresses. Elle offrait ses seins et sa chatte sans aucune pudeur et mes doigts s’engluèrent d’une liqueur dont je savais qu’elle était prémices de jouissances sans fin. Ce n’est que lorsqu’elle se redressa un peu, que je compris qu’elle était en train de palper l’entrejambe de notre ami et qu’elle s’attaquait à la boucle de la ceinture de son pantalon. J’abandonnai quelques instants son abricot bien ouvert pour me débarrasser de vêtements qui devenaient encombrants.
    
    — Moi, je voudrais bien voir le pansement pour me faire une idée de la taille de la cicatrice, même si on est en plein jour.
    
    Il est vrai qu’Isa et moi avions été très surpris lorsque, au moment de se défaire de nos vêtements, Jean-Pierre avait demandé d’éteindre la lumière. Pour tout dire, ça avait un peu rafraîchi l’ambiance. Nous avions fait l’amour dans tellement d’endroits insolites et dans toutes les conditions d’éclairage, des plus crues aux plus intimes, que nous avons eu un ...
    ... instant de stupeur. Celui-ci passé, j’obtempérai tout en éclairant la salle de bain et en laissant passer un peu de lumière par la porte entrebâillée. Dans la pénombre ainsi créée, nous reprîmes nos explorations réciproques, mais avec un peu de retenue. Isa, qui adorait procéder elle-même au déboutonnage ou au dézippage des braguettes, qui adorait batailler pour défaire les boucles de ceinture, n’osait plus vraiment prendre l’initiative. Du coup, je la laissai finir de baisser mon pantalon que j’avais déjà dégrafé et tirer sur mon slip pour mettre à l’air libre une bite rendue semi-flaccide par le changement d’ambiance. Elle se mit à genoux, s’en saisit goulûment et l’engloutit sans autre préliminaire. J’eus comme un choc électrique à me sentir enrobé dans cet écrin de soie, chaud et voluptueux. En quelques secondes et quelques allers-retours le long de ma hampe, quelques caresses sur mes bourses et mon périnée, l’effet espéré ne se fit pas attendre. Isa atteignit rapidement l’objectif qu’elle s’était fixé : me refaire bander.
    
    Pendant ce temps, malgré la pénombre, j’avais vu Jean-Pierre quitter ses vêtements et, aux mouvements que j’avais distingués, je pensais qu’il était en slip et torse nu. Isa, elle aussi, avait dû suivre du coin de l’œil le déshabillage et, sans sortir ma bite de sa délicieuse position, elle alla, à genoux et à tâtons, voir dans quel état se trouvait notre ami. Pour autant que je puisse le distinguer, elle se défit rapidement du slip encombrant et elle le ...
«1234...9»