Soins intensifs
Datte: 19/09/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
frousses,
extracon,
hotel,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
totalsexe,
Auteur: Bergamasque, Source: Revebebe
... qu’elle venait d’avoir. Elle s’écroula en travers du lit, la tête sur le ventre de son nouvel amant en disant
— J’ai déjà joui ! Que c’est bon ! Que j’aime faire ça avec vous deux.
Nous n’étions que des formes sombres, mais je distinguai le lent mouvement de la main d’Isa sur la bite de Jean-Pierre et j’avais l’impression qu’elle ne l’encerclait pas intégralement.
— Quelle grosse queue tu as, ma petite chatte va avoir du mal à la prendre. Mais tu sais que je veux que tu sois protégé…
— Mais je n’ai pas ce qu’il faut…
Je pris les choses en main (au sens figuré, bien sûr) :
— Mais nous, nous avons ce qu’il faut.
Et je trouvais à tâtons les préservatifs que nous avions posés sur la table de nuit avant de partir au restaurant rejoindre notre ami. Je déchirai l’enveloppe et passai à Isa la gaine de latex encore sous forme d’anneau.
— Qu’est-ce qu’elle me fait envie, je veux la prendre dans ma bouche et dans ma chatte.
— Tu es folle, on est dans un hôpital…
— Justement, ça me donne envie et Marcel qui me branle la chatte en plus…
Mes doigts allaient et venaient dans un doux clapotis, s’écartant quelquefois l’un de l’autre lorsqu’ils étaient bien au fond. Mon pouce avait pénétré de quelques millimètres son petit œillet.
— Je crois que maintenant j’accepterais sans préservatif…
Il faut dire que l’épisode de l’enfilage avait été épique. Il ne s’agissait pas de l’enfilage d’une belle queue dans un trou accueillant mais bien de l’enfilage du ...
... préservatif. Il faut dire que les préservatifs en question n’avaient pour nous qu’un usage épisodique, quelquefois pour une sodomie, mais que leur taille était la mienne. J’avais bien pensé à ce problème de taille en me remémorant les confidences de Jacqueline mais j’avais considéré que la tendance naturelle à l’exagération des femmes et l’extensibilité du latex se combineraient pour le résoudre. Sauf que là, au moment crucial, pas moyen d’enfiler le condom ! Isa maudissait sa maladresse mais il lui fallut bien se résoudre à constater qu’impossible était ce soir-là français et que, sauf à renoncer à sa résolution, il n’était pas question de profiter de cette matraque autrement qu’avec la main ou la bouche.
— D’autant qu’il n’a pas baisé depuis son opération. Il a eu un test sida juste avant et on lui aurait dit s’il avait été positif, donc aucun danger…
J’avais vraiment très envie de la voir se faire baiser et c’est moi qui venait de développer cet argument, parfaitement fondé au demeurant. Mais l’autre soir, il n’était pas encore valable et nous avions donc continué à nous branler. À tour de rôle, nous l’avions léchée dans tous ses trous, pénétrée de nos langues, la faisant jouir à plusieurs reprises, mais sans le feu d’artifice attendu. Je les avais abandonnés, seuls un instant, pour me rafraîchir dans la salle de bains et, à mon retour, j’avais distingué Isa de nouveau à genoux sur le lit, le cul dressé, en train de sucer avec la dernière énergie, la queue tant désirée.
Ma ...